April 19, 2024
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Opinion Politique

Bernard Delaitre : son obsession maladive de JMLS l’achève à…grand feu

Plus le temps passe, moins Bernard Delaitre ressemble à un homme civilisé, raisonné et en possession de toutes ses facultés mentales et physiques. C’est en tout cas ce que semblait craindre la direction de la rue St George, agacé, pour ne pas dire courroucé par ses comportements indignés qui malmènent la mémoire du regretté Raoul Rivet. Et, c’est d’ailleurs pour cette raison que le board lui aurait retiré une grande partie de ses pouvoirs et dans le même souffle aurait endossé sa cousine de prérogatives lesquelles ont enlevé à Bernard Delaitre le peu de dignité qu’il lui restait.

Pourtant, Bernard Delaitre persiste, signe et se montre de plus en plus actif sur ses affaires extra-déontologiques. Nous n’avons que faire de son attitude, de son air de vouloir garder sa ligne de conduite suicidaire et bassement méprisante et méprisable et qui suscite la honte chez ses différentes familles, connues pour être très sensibles à ce que leur prestige ne soit pas atteint et leur niveau ne se dégrade pas.

Qu’il ait la passion endiablée de la chair tendre et interdite dans souvent des cas [des mœurs dissolues qui coulent dans les veines, donc inguérissables] ou qu’il ait eu une mainmise corrosive sur la gestion de l’entreprise familiale ou encore qu’il ait eu à son passif des affaires pécuniaires [libérant des instincts impitoyables et faisant des victimes] ou encore plus que le vice du Champ de Mars lui ait fait essuyer des déboires, ces quelques prouesses peu élogieuses [la liste est assez longue et conséquente] suffisent pour le discréditer et à ne pas lui permettre d’assumer des fonctions liées à la chose publique et à l’éthique.

Or, Bernard Delaitre se suffit à lui-même. Donc, il n’apprend pas de ses erreurs et errances, n’arrête pas de faire la lecons aux autres et surtout ne se retient pas à se répandre en imprécations et en calomnies sur les autres. Quelqu’un comme lui est non seulement nuisible à la liberté d’expression et d’écrire, il est aussi dangereux.

On associe souvent connerie et ignorance, or le cas de Bernard Delaitre démonte cette idée…Il y a des gens qui sont éduqués, nés dans la pourpre, et qui défendent des théories du complot délirantes ou des thèses de redresseur des torts, prenant la liberté de juger les autres par rapport à ce qu’ils sont eux-mêmes. Ce sont ce que nous appelons de sales cons: des gens qui n’ont ni considération ni empathie pour leur prochain, dévoilant un sentiment de suprématie.

On peut être cultivé et con comme un manche. On voit très bien ça chez Bernard Delaitre qui est capable d’écrire tout et son contraire, d’exprimer dans sa stupeur sa frustration, sa jalousie, son obsession sans que cela le gêne un seul instant. La culture du doute, l’esprit mauvais, le sens de la dérision, on décèle aisément tout cela chez ce ventru. La remise en question ne lui est pas accessible. En fait, à première vue, on ne guérit pas un connard, il vaut mieux le mépriser. Mais, rester tranquille, impassible comporte le risque de renforcer ses convictions.

De surcroît, Jean-Michel Lee Shim n’est pas homme à subir la connerie.

S’il y a un tas de gens dont la vie a été gâchée par leur convoitise des femmes de leur meilleur ami, de leur collègue; par des tricheries, des combines, JMLS lui ne s’est jamais fabriqué une telle mauvaise conscience et n’a pas un seul instant de sa vie accumulé le moindre gâchis. Ainsi, il ne laissera jamais des tentatives odieuses [ne serait-ce que] l’égratigner.

La malhonnêteté intellectuelle qui consiste à dénoncer chez les autres dont il est coupable, a aveuglé Bernard Delaitre. Il n’y a pas de concurrence possible avec un con. Le meilleur moyen reste la fuite. Sinon, il aurait retracé dans l’existence de Jean-Michel Lee Shim un parcours parsemé de drames, de luttes, de détermination, de patience, à la force de son intelligence et de ses idées géniales. Suant eau et sang, JMLS a choisi de porter sa confiance dans la Providence, d’où sa remontée vers une vie aisée. Alors qu’il pouvait s’asseoir sur ses acquis et jouir de sa fortune, il a choisi le partage, le souci des autres et de prendre le parti des faibles, des opprimés et des démunis.

Cette générosité de cœur et d’esprit transcende toutes les tentations faciles de la thésaurisation et de l’égoïsme, qui accaparent généralement les fortunés. La misère et la santé précaire des autres sont les seules préoccupations qui comptent pour JMLS, cela au détriment de sa propre réussite. Il faudrait être d’un esprit rétréci et boîteux pour ne pas reconnaitre cette fulgurance de bienfaiteur chez Jean-Michel Lee Shim. Pourquoi Bernard Delaitre s’entête-t-il à déverser sa bile, sinon que cela tient d’une structure mentale en décrépitude. Puisque ce qu’il pond dans les journaux où il sévit ne fait que réduire ceux-ci à des torchons, des feuilles de choux, quand ses niaiseries y figurent.

Monsieur Bernard Delaitre, un conseil pour finir: Il n’y a pas de concurrence possible avec un con, un méchant comme vous. Si le meilleur moyen pour d’autres reste la fuite ou le silence, JMLS n’est pas prêt à jouer ce jeu ridicule. Sa riposte se décuplera et ses dénonciations s’amplifieront. D’ailleurs, en répondant du tac au tac aux écrits sombres, laids de ce marchand de papier, JMLS a fini par ajuster Bernard Delaitre jusqu’a le rendre insignifiant. Au point où l’on constate au travers des piètres opinions de Bernard Delaitre, aussi dégénérées que pourries, que son état d’esprit est au plus bas de son niveau intellectuel; et aussi par le biais de son apparence, qui frappe les regards dans le mauvais sens, parce qu’elle révèle une négligence de sa personne, un abandon de soi. Un homme qui se délaisse et qui est obsédé par le coup de pouce du destin et de la réussite d’un « genuine » philanthrope comme JMLS, n’a pas de légitimité dans sa plume [pire quand il tente d’ériger ses calomnies en affirmations et allégations gratuites], encore moins le droit de porter un jugement sur les autres.

Nous reprenons des paroles de Michel Eyquem de Montaigne, philosophe et qui aurait dû inspirer Bernard Delaitre dans tous les aspects de sa vie: « Je me vois plus fier de m’incliner devant les argu¬ments de mon adver¬saire que de la victoire par sa faiblesse je remporte sur lui. » La différence avec Bernard Delaitre est qu’il n’obtient aucune victoire, même pas la plus faible. Il s’est heurté et se heurtera toujours à la riposte verbale cinglante de JMLS, des répliques qui font plus mal que des gifles.

Quoiqu’il en fasse, que Bernard Delaitre sache qu’il n’arrivera jamais à la cheville de Jean-Michel Lee Shim. Car, plus significatif encore, Bernard Delaitre a le cerveau au talon de ses chaussures…Son obsession maladive de JM Lee Shim finira par l’achever à…grand feu.