March 29, 2024
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Opinion

Regard : Le singe qui rêve de devenir King Kong

Disons-le d’emblée: sans les Jugnauth, Sherry Singh aurait pataugé toute son existence dans la promiscuité et la débauche. Sa carrière chez Emtel avait tourné à la catastrophe, avec un départ forcé s’assimilant à une incompétence criarde. Sans compter qu’il échappa à un passage en geôle pour faute grave. Les finances dissolues lui privèrent même de cartes de crédit, les banques lui opposant un refus inattaquable.

Son sombre destin se métamorphosa en un virage à 180°, qui transforma sa vie, lorsqu’il lia amitié à Pravind Jugnauth. Avec une grande habilité, il sut s’inscrire dans le bon carnet de la famille de Pravind. 2015 fut l’année charnière quand il fut nommé à la tête de Mauritus Telecom. Dès lors, le Maharajah venu de nulle part connut une ascension fulgurante. D’une vie de quatre sous, il bascula dans une opulence douteuse. La santé financière du joyau public qu’est MT en pâtit; et pour comprendre la gestion bancale et scandaleuse, citons le député Adil Ameer Meea: Mauritius Telecom, qui a réalisé en moyenne des bénéfices de Rs 1,5 milliard par an entre 2005 et 2009, avec un pic de Rs 2 miliards en 2006. Et entre 2010 et 2014, une moyenne annuelle de Rs 1,6 milliard avec une pointe de Rs 2,8 milliards en 2012. «Mais à partir de 2015, sous Sherry Singh, c’est la dégringolade avec Rs 900 Millions en 2015, Rs 55 M en 2016, une perte de Rs 98 M en 2017, un profit de Rs 1,3 milliard en 2018 pour ensuite enregistrer une perte de Rs 390 M en 2019 et pertes de Rs 188 M en 2020 et 74 M en 2021.»

Ce qui pousse le patron de Top FM Krish Caunhye à sortir l’artillerie lourde contre le Maharajah de MT. « Le Prince parti, il est nécessaire de commanditer un ‘forensic exercise’ sur la gestion du Mauritius Télécom. En situation de quasi-monopole MT aurait dû faire des bénéfices de plus de 2 milliards ou plus. Cette exercice de forensic sur la gestion de MT, (non-seulement comptable mais de À à Z incluant les procédures d’approvisionnement et allocations des contrats), depuis l’arrivée du Prince est nécessaire, non seulement pour les employés de MT qui ont privé le public d’un service après avoir fermé plusieurs succursales le jour du départ de son CEO chérie, mais le peuple saura enfin la supercherie que cache les placards d’un des fleurons du pays qui aurait dû pendant ces moments difficiles retourner des dividendes par milliards à l’état.»

Pour son pays, monsieur Caunhye se dit prêt à contribuer gratuitement de son temps pour faire la lumière sur cette gestion de 7 ans en tambours et trompettes mais autant calamiteux sur le plan financier. Selon lui, Il faut bien que la population voie bien cette forêt que cache l’arbre ! « Pour cela s’il faut dépenser une centaine de millions pour trouver où sont volés des milliards ce n’est rien du tout !»

Pour son pays, monsieur Caunhye se dit prêt à contribuer gratuitement de son temps pour faire la lumière sur cette gestion de 7 ans en tambours et trompettes mais autant calamiteux sur le plan financier. Selon lui, Il faut bien que la population voie bien cette forêt que cache l’arbre ! « Pour cela s’il faut dépenser une centaine de millions pour trouver où sont volés des milliards ce n’est rien du tout !»

Dans le même souffle, pour se tirer d’affaire, il détourne l’attention sur le couple Jugnauth. Là, il s’y prend mal, d’une façon éhontée et malhonnête. Nous nous insurgeons contre ce dénigrement systématique du PM et de son êpouse. Outre le fait que les deux cas sont liés, la victime des odieuses calomnies et autres mensonges n’étant autre que Mme Kobita Jugnauth l’épouse du Premier ministre, cela permet de mieux comprendre la conspiration qui prend forme au détriment de ces deux premières personnalités du pays. Nous reconnaissons ce vil personnage, portée à faire du mal, à son odeur, mais sa puanteur n’atteindra jamais le couple Jugnauth.

Malheureusement, ce n’est pas nouveau, c’est une histoire vieille comme l’humanité : partout dans le monde, beaucoup de sociétés contrôlent la moralité des femmes par la façon dont elles les soumettent à des exigences et surtout prennent la vile manière de salir lâchement les hommes du pouvoir et leurs conjoints.

Certes, ce qui est bien dans la vie est que ceux qui jettent la boue sur les autres, pratiquent la calomnie et distillent le mensonge comme Singh finissent par se retrouver dans des situations dont ils ne pourront jamais s’en extirper.

Le raz-de-marée de calomnies, de médisance, de mensonges et d’allégations gratuites a été déclenché pour démolir le couple Jugnauth. Sherry Singh n’a plus aucun scrupule à vomir son fiel sur ceux qui lui ont ouvert la voie à une carrière dorée; alors qu’il n’était qu’un moins que rien et qu’il était destiné à des années ténébreuses et laborieuses. Pour cet ingrat de la pire espèce, la médisance, la rhétorique prime sur la vérité. Tel est le mode opératoire de S. Singh.

Le piètre Oscar du mensonge et de cette campagne de dénigrement, précisément du ‘character assasination’ revient à cette crapule, qui a commencé à se répandre sans le moindre gène en imprécations et allégations contre le PM et son épouse. C’est le règne de la boue et de la contrefaçon. Par sa médisance et ses mensonges, ce lâche a non seulement insulté les femmes mauriciennes, il a fait l’aveu de sa haine à l’égard du PM et de sa tendre moitié.

Le mensonge a atteint son paroxysme. C’est tragique ! Mais la véritable catastrophe, c’est l’acceptation sociale du mensonge, par le biais des réseaux sociaux. En toute impunité, des centaines de suiveurs reprennent sur leur “wall” ce que cet esprit malade qu’est Sherry Singh a alimenté tous azimuts sur les ondes de Radio Plus. Quand la fausseté et le leurre sont institutionnalisés et que la tromperie ne fait plus scandale, quelle société construisons-nous ? Mais, sachez qu’il en faudra beaucoup plus pour venir à bout du couple Jugnauth.

Il faut dire que cet imposteur de S. Singh qui se rend coupable de médisance à l’encontre de Mme Kobita Jugnauth est affreusement banal, médiocre et infect.

Certainement, avec K. Jugnauth, il n’est pas question de s’installer dans une acceptation passive; elle refusera absolument, farouchement, de se constituer comme une victime toute désignée. De ne pas se taire est nécessairement synonyme de vérité. Si être une femme est une preuve en soi, il va sans dire que c’est à son époux en tant que PM que revient l’action de monter logiquement en première ligne pour maîtriser ce singe qui a toujours rêver en vain de devenir kingkong.

En démocratie, c’est le seul recours adéquat.

Sincèrement, nous sommes d’avis que ce mal appris de Singh, Pravind et Kobita Jugnauth doivent le soigner par le mépris et le silence. Il convient de focaliser sur ce qui est dans l’intérêt du pays. Concrètement, Mme Kobita Jugnauth gagne beaucoup à exercer un rôle de représentation, de patronage et d’accompagnement du PM dans ces rassemblements où ils sont invités et dans les missions de PJ. Aucun texte juridique ne codifie ce rôle. Cependant, on voit chez elle, même si elle se montre très discrète, ce devoir d’être utile. Dans ces conditions, elle est sans cesse sous le regard des autres. Les Mauriciens approuvent et apprécient cette prestation en hauteur. Ce n’est pas la noirceur des attaques incivilisées de Sherry Singh qui diminueraient l’auréole d’honneurs de K. Jugnauth.

Kobita Jugnauth a un tel rayonnement qu’en prenant part à des actions nationales, notamment pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux enfants, elle vit résolument dans le présent et l’assume avec une magnifique dignité. Sans mentionner, qu’elle répond aux sollicitations des Mauriciennes qui souhaitent la rencontrer. Pour des raisons de sécurité imposées par l’État, elle doit cependant exercer sa liberté dans la contrainte.

Mais, dans la foulée, précisons qu’elle est une femme libre. Malgré ces moments de contrainte, elle reste profondément celle qu’elle a toujours été. Elle ne sait pas être autrement. Et ne vous y méprenez pas, elle ne redoute pas l’après-pouvoir. Non, pas du tout. Bien évidemment, l’avenir peut être incertain en général. Mais l’avenir avec Pravind n’est pas inquiétant. C’est un homme solide, extrêmement rassurant et extrêmement concentré sur ses objectifs pour le pays et les Mauriciens.

C’est pourquoi les tentatives de salir Kobita Jugnauth et dénigrer Pravind sont ratées. Bien sûr, le couple n’est pas à l’aise avec les gens qui n’ont pas de visage. S’il ne comprend certainement pas la sale démarche de SS, le couple Jugnauth finira par expédier ce perfide de S. Singh dans un gouffre dont il n’a même pas vu les profondeurs en songe.

Pourquoi est-ce que systématiquement Singh a recours à cette violence verbale aujourd’hui, après avoir amassé une fortune par tous les moyens interdits, hautement condamnables ? Nous arrivons à penser que les gens qui insultent, qui calomnient comme S. Singh sont profondément malheureux.

Singh a toujours nourri ce désir macabre du calife à la place du calife. C’est très significatif qu’il soit démasqué le jour où les masques tombent. Il faut en rire quand il parle comme un fou qui a tout perdu sauf la démence; quand il prévoit un tsunami et la fin du “primeministership” de Pravind. Il finira sa vie à tenter à se lécher le coude, avant que ce jour ne naisse.

Mais lorsqu’on se fait des ennemis, lorsqu’on s’engage dans des choix contestés, dénoncée le plus naturellement du monde; et lorsque le destin s’acharne d’une façon persistante, on doit aviser et se raviser. Tristement, pour Sherry Singh, il est trop limité et malintentionné pour une attitude, un comportement noble. Le présent l’a perdu, le futur lui échappera lamentablement. À l’opposée, Pravind Jugnauth transcende ces bassesses. Il a appris qu’on ne vient pas au pouvoir pour régler des comptes à certains, même s’ils ont été impitoyables. On vient au pouvoir pour œuvrer au développement de son pays, sur la base d’un programme d’actions dont la mise en marche effective requiert des sacrifices et des efforts inlassables. Sherry Singh ne lui fera pas se dévier de ces objectifs. Singh est un homme insignifiant, qui ne mérite pas que l’on s’attarde à ses pitreries et à ses piètres réactions.

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