October 15, 2024
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DÉSINFORMATEURS, DÉFORMATEURS ET MARCHANDS DE PAPIER

Dans un article délibérément subjectif et tendancieux le jeudi 16 avril, les deux plumitifs et désinformateurs de service du Mauricien ont fabriqué une sinistrose d’accusations gratuites, à partir de références anonymes, voire fictives, aux dépens de Smart (Mtius) Shopping. Avec un titre de « Une », au bas de la couverture du journal, le texte est pondu en page 9 (voir à côté notre réponse aux normes techniques et légales). Si nous devons soigner ce genre de journalisme pourri par le mépris et le silence et de reléguer l’article au rayon des farces et attrapes, il convient de souligner que derrière ce traitement de deux poids et de deux mesures, c’est toute la déchéance du journal qui est mise à nu et tout un état d’esprit névrosé et malfaisant qui est intégralement à réformer.

Cette pratique rédactionnelle constitue certes une perversion de l’essence journalistique. Nous nous expliquons : La négligence volontaire de parler de l’organisme (qui vise le Smart-Mtius-Shopping) qu’en ne le citant en initiales, soit CAP (en passant, on ne sait plus s’il s’agit de Certificat d’Accaparement Professionnel ou de Cons À Plein temps) et ne mentionnant pas le nom du porte-parole, est contraire à l’éthique. De même que le fait d’éviter dans ce cas conflictuel de rechercher tous les avis divergents, précisément celui de Smart (Mtius) Shopping, cela relève d’une volonté malsaine et d’une entorse aux règles du journalisme digne de ce nom. Définitivement, sans vouloir noircir le tableau à outrance, le journal ne peut faire autrement que de se ranger du côté des gros patrimoines, ceux qui leur fournissent manger et boire et le grand confort. C’est pourquoi ceux qui manigancent dans les bureaux là-bas font semblant et déclenchent leur coups de fusil dans l’air quand il faut atteindre ceux qui exploitent les démunis, les pauvres, les ménages modestes et même la classe moyenne. Il va sans dire que, quand Smart (Mtius) Shopping fait son apparition pour venir à la rescousse de ces gens-là, pour les soulager et dans le même souffle s’attaquer aux racketteurs des grandes surfaces, le tandem et le journal avec, se démènent et leur malhonnêteté intellectuelle est démasquée.

D’où l’article puant pour détourner l’esprit de la population. Quoiqu’ils en fassent, Jean-Michel Lee Shim assume et revendique sa mission d’être aux côtés de ceux qui se font plumer. Ils ne passeront pas. Cela se comprend, puisque ce qu’il demeure d’étiquette journalistique à cette compagnie est vraiment infime. Par la faute de ces deux colporteurs. Nous n’allons pas être méchants pour dire qu’il n’en reste rien de ce torchon. Mais, une chose est sûre, il reste peu de choses aux deux renégats qui sévissent à la rue St George pour se sauver. Se demander s’ils sont encore honnêtes, c’est autant se demander si la tenancière d’une maison close est encore vierge. Tout ce qui est nécessairement immoral devient moralement nécessaire pour ce duo. Leur réputation qui se dégrade irrémédiablement colle à leur peau comme un sparadrap. Tous leurs écrits sont faussés sur du frelaté et du faux, au carré et au cube

Quoiqu’ils en fassent, Jean-Michel Lee Shim assume et revendique sa mission d’être aux côtés de ceux qui se font plumer. Ils ne passeront pas.

L’état-major (exclusivement familial pendant longtemps est aujourd’hui aussi composé d’une filiale qui fait main basse sur tout dans le monde des affaires) laisse percer leur agacement, voire leur désapprobation, quant aux manœuvres de ces deux figures liées par connivence, pour ne pas dire complicité. Les actionnaires les reconnaissent désormais à leur odeur et cette puanteur leur atteint. Leurs jours sont-ils comptés ou seront-ils mis entre parenthèses? Difficile à dire, tant à plusieurs niveaux la compagnie navigue à vue d’œil.

La négligence volontaire de parler de l’organisme (qui vise le Smart-MtiusShopping) qu’en ne le citant en initiales, soit CAP (en passant, on ne sait plus s’il s’agit de Certificat d’Accaparement Professionnel ou de Cons À Plein temps)

Marchand de papier et non plus homme de presse. Voilà à quoi est reconnu celui qui tire toutes les ficelles au Journal de la rue St George, avec comme maître du jeu rédactionnel un détenteur d’une carte de presse qui cachait un mercenaire payé de la caisse de notre compagnie d’aviation nationale pour manipuler, déformer et dénaturer des articles. Pour ces personnages-là, la honte n’est pas contagieuse et pour ceux qui les connaissent, depuis longtemps ils sont à la presse ce que le rat est au caniveau : des esprits malfaisants. D’ailleurs, à voir de plus près, vous remarquerez que le nom du rédacteur-en-chef n’apparait pas dans l’ours du journal. Pour quelles raisons ? Sûrement pas par manque d’espace. Autrefois, Le Mauricien s’achetait; aujourd’hui, il faut le vendre. Et, quand un tirage dégringole de 40,000 à quelques milliers, comment ne pas faire argent de tous les prétextes. L’imprimerie n’appartient plus (ou presque) à la compagnie, depuis quelques années et on recherche désespérément un acquéreur pour le bâtiment qui abrite les bureaux et sans succès, le 14ème mois de bonus et les fêtes de fin d’année pour les employés ne sont plus à l’ordre du jour et pour ne pas payer tout ce que cela comporte comme primes forfaitaires de retraite ( « lump sums ») et autres bénéfices à ceux qui veulent partir à point nommé (60 ans), on se sert du subterfuge de leur faire bosser jusqu’à ce qu’ils mangent les pissenlits par la racine (moyen artificieux bien calculé ; ainsi les montants versés aux familles sont maigrelets, comparés à ce qu’ils devaient légitimement empocher, alors vivants).

Tous ces faits résument bien le drame de cet établissement: jadis, il était dirigé par des hommes de presse authentiques, Raoul et Jacques Rivet ; aujourd’hui, elle est managée par des marchands de papier. C’est peut-être là une explication de son déclin: certes, cette presse écrite doit être le seul secteur économique en difficultés qui a désinvesti massivement, ces dernières années, de son cœur d’activité, la production d’informations. Avec le résultat que l’on sait. D’habitude, on les voit plutôt se présenter en patrons de leurs «quality papers», comme ils aiment à le proclamer. Mais qu’importe, ils doivent en vérité survivre et cela grossièrement de la manne publicitaire des gros capitaux et patrimoines. L’éthique est expédiée au fond d’un tiroir poussiéreux. Cette déontologie, ils l’ont pourfendue, au service de ceux dont les recettes publicitaires font la paye de tous les départements. Sinon, c’est l’effondrement total et la mise de la clé sous le paillasson. Quelle puisse être leur faiblesse et leur niveau pour endurer ces humiliations.

Ne pas prendre tous les avis divergents, précisément celui de Smart (Mtius) Shopping, cela relève d’une volonté malsaine et d’une entorse.

Cela ferait du bien aux dirigeants actuels de se rappeler que durant les années 90, cette compagnie avait agité le chiffon rouge de la faillite et sans l’esprit de sacrifice des employés innocents et solidaires (qui acceptaient de toucher leur salaire dans le deuxième semaine du mois d’après ; certains allant jusqu’à retirer leurs économies en banque pour les déposer dans la caisse du journal). Se passer des services de ces racoleurs et indésirables reste l’ultime recours pour redonner au journal ses titres de noblesse. Sinon, nous sommes en droit de nous demander à qui profite le crime et pour qui roule la compagnie. Ces piètres gens ont toujours voulu laver plus blanc que blanc, mais pour le faire ils ont oublié qu’il leur fallait, au prime abord, aussi veiller à être eux-mêmes propres. Quoiqu’au cas contraire, la nature agit toujours. Car, il n’est jamais permis à l’homme porté à nuire et à causer du tort, d’exécuter perpétuellement ses méfaits en toute impunité. Quelques points qui répondent et rendent inutiles les préoccupations suivantes du CAP :

1. La nécessité d’un paiement par le biais d’un compte de sms pariaz uniquement

2. Points de livraison 

3. Recours des clients insatisfaits

NOS RÉPONSES

1. Mode de paiement  Le mode de paiement a été conçu pour être conforme à toutes les législations pertinentes, y compris la « Electronic Transaction Act » et la « Competition Act » et, plus important encore, pour aider la population mauricienne à rester chez elle et en toute sécurité, sans avoir à faire face aux manœuvres peu scrupuleuses de certaines entités commerciales. En gros, nous avions le choix entre les cartes de crédit, les cartes de débit ou les virements bancaires (ce qui aurait nécessité l’intervention des autorités de certification et des banques – un exercice long et fastidieux compte tenu de l’urgence actuelle de la situation). La « Competition Act » interdit les accords horizontaux et les accords verticaux ainsi que d’autres accords restrictifs en vertu des Articles 41, 43, 44 et 45 de la loi. Il faut comprendre la portée de ces interdictions en vertu de cette loi pour pouvoir les appliquer dans le cas precis. Un accord horizontal signifie un «agreement between enterprises which for the purpose of that agreement operate in the same market and are actual or potential competitors in that market ». Les accords verticaux sont des «agreement between enterprises each of which operates, for the purposes of the agreement, at a different level of the production or distribution chain and relates to the condition under which the parties may purchase, sell or resell certain goods or services. » Il ressort clairement des définitions ci-dessus, que la plainte de la CAP semble de loin non pertinente et/ou mal conçue. Les deux sont interdites en vertu des articles 41 et 43 de la loi sur la concurrence respectivement. Cependant, l’article semble suggérer une violation de l’article 44 qui est reproduit ci-dessous : «A horizontal agreement that is not collusive under S 41 may be reviewed by the Commission where – (a) the parties to the agreement together supply 30 per cent or more, or acquire 30 per cent or more, of gods and services of any description on the market ; and (b) the commission has reasonable grounds to believe that the agreement has the object or effect of preventing, restricting or distorting competition ». Il est clair qu’il n’y a aucun accord ni aucune perception logique que le sms.mu ait conclu un accord avec smspariaz pour obtenir 30 % ou plus de la part du marché, impliquant la vente et la distribution de denrées alimentaires dans l’île. La crainte présumée ou supposée du CAP est que cette pratique, c’est-à-dire le paiement à effectuer par le biais du compte sms pariaz, a pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser la concurrence. Soyons clairs : ce mode de paiement n’a aucun impact sur la concurrence du marché des denrées alimentaires à Maurice. À quelle concurrence le CAP se réfère-t-il donc ? La réponse logique et sensée serait la concurrence avec les autres modes de paiement, qui sont normalement les espèces, les cartes de crédit/ débit ou les transferts bancaires en ligne. C’est le même raisonnement qui veut que personne ne soit normalement autorisée à acheter sur Ali-express ou Amazon sauf si cette personne est titulaire d’une carte de crédit… alors en appliquant le raisonnement du CAP, de sociétés telles que Ali-express ou Amazon ou encore e-Bay entre autres, seraient coupables de restreindre ou d’interdire la concurrence. Les termes employés par la CAP et reproduits par leMauricien sont plus précisément «tied selling» et «Exclusive dealings». Ces termes n’ayant pas été définis par la « Compeition Act », nous nous efforcerons d’expliquer la signification de ces termes lorsqu’ils sont utilisés ou appliqués en vertu des lois sur la concurrence dans le monde entier. Venons-en au concept de «Tied Selling» qui est considérée comme étant «une pratique par laquelle une entité contraint un client à ACHETER un autre produit ou service comme condition d’achat du produit ou service que la société vend ou offre». C’est un non-starter parce que le sms.mu ne contraint aucun de ses clients à acheter un service avec le sms pariaz, car ce dernier n’exige aucun montant aux clients du sms.mu pour ouvrir un compte ou des paiements effectués au sms.mu par l›intermédiaire du compte du client. Tandis que les banques facturent normalement des frais pour de telles transactions, l›effort du sms.mu et du smspariaz peut seulement être louable ayant comme objet le plus grand, d’aider la communauté dans une telle période de crise. Les «Exclusive Dealings», d’autre part, se réfèrent à une situation où un détaillant serait obligé d’acheter auprès d’un fournisseur particulier, étant entendu qu’aucun autre détaillant ne serait désigné ou reçu pour un territoire particulier. Il est clair, à la lecture de la signification de ces termes hautement techniques dans le cadre des lois coutumières sur la concurrence, que ni les sms.mu ni les smspariaz ne peuvent être taxés pour de telles pratiques. Il apparaît à toutes fins utiles que ces termes sont utilisés sans la diligence nécessaire pour en préciser les définitions respectives, ce qui peut SEULEMENT avoir pour conséquence et a pour but de troubler les membres du public ou de manipuler purement et simplement l’opinion publique à l’encontre du site SMS.mu. Il aurait été totalement différent que le sms.mu contraigne ses clients à acheter ses produits sous réserve de l›achat d›un autre produit uniquement.  

2. Points de livraison / 3. Clients insatisfaits :  Tandis que beaucoup ont essayé de livrer au lieu de résidence des clients et d’autres, un point de livraison particulier étant un endroit public et la livraison étant faite par les véhicules de transport, nous avons essayé d’employer nos points de vente de smp d’une manière ordonnée. Cela étant dit, il n’y a rien de sinistre, légalement ou moralement, à avoir de tels points de livraison dans la mesure où la livraison effectuée respecte les directives d’éloignement social actuellement en vigueur. Les clients sont priés de lire et d’accepter nos conditions générales avant d’acheter ou de commander l’un de nos produits. On peut se demander comment les points de livraison disponibles tout autour de l’île et qui font que cette distribution se fait avec moins de possibilités de contact entre les personnes et en maintenant une sécurité maximale pour éviter la propagation du covid-19, peuvent être immoraux/unethical ou avoir un impact sur les clients non satisfaits. En tout état de cause, les conditions générales ou la politique qui sont publiques et disponibles sur notre site web indiquent clairement la procédure à adopter dans le cas où un client n’est pas satisfait des produits livrés. Nous rassurons nos clients et le public en général sur le fait que les transactions font en ligne sur notre site sms.mu sont protégées par la « Electronic Transaction Act » et d’autres textes législatifs tels que le code civil, d’autant plus qu’Il ressort clairement de nos conditions générales que toutes ces transactions sont régies par les lois de la République de Maurice. Sms.mu qui est en fait Smart (Mtius) Shopping est une entité dûment constituée en vertu de la « Companies Act ». Elle a une adresse enregistrée et un conseil d’administration. On ne peut pas dire qu’un client si insatisfait aurait des difficultés à faire valoir ses droits ou à localiser notre siège social pour demander réparation, simplement parce que le CAP a des doutes ayant restreint son opinion sur les points de livraison comme semble le suggérer l’auteur de cet article ! Le message est clair… de telles plaintes sont mal conçues tant en droit qu’en fait. Nous n’obligeons aucun client à parier avec smspariaz avant d’avoir la possibilité d’acheter via son compte smspariaz.

Notre seul but est de pouvoir aider la population en général, de s’approvisionner sans trop de risques de contamination du COVID-19 et aussi de contribuer à ce que d’autres gens (LES PLUS DEMUNIS) sont nourris car les recettes de sms.mu sont versées à Solidarite Marye Pike.

Cassam DHUNNY