December 7, 2024
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Opinion Politique

Les désirs infects de Bernard Delaitre

En couvrant d’opprobre JeanMichel Lee Shim, Bernard Delaitre cherche sans doute à se faire une nouvelle virginité en se faisant passer pour le bon Samaritain. Bernard Delaitre est un peu comme Madame La Marquise, dans la célèbre chanson de Paul Misraki des années 30, à qui on disait que tout va bien chez elle alors que ses écuries et son château étaient en feu.

S’il y a bien une chose qui colle à la peau de Bernard Delaitre, c’est la frustration. Wikipédia définit la frustration comme «le sentiment qu’il y a quelque chose que nous voulons à tout prix avoir dans la vie mais qui nous échappe toujours». Et la frustration, en psychologie, comme «une réponse émotionnelle à l’opposition ressentie liée à la déception, voire la colère».

Cette frustration dégouline de la plume de Bernard Delaitre. Une plume approximative et mensongère, qui n’aime rien de mieux que de dénigrer, d’insulter. Mais le journalisme est un métier noble et il nous trouvera sur son chemin à chaque fois qu’il franchira les limites de la décence et de l’inacceptable.

Ainsi, ce qui l’irrite depuis quelque temps, c’est le rôle de «consultant» qu’occupe Jean-Michel Lee Shim au sein de SMS Pariaz, compagnie de jeu que Bernard Delaitre veut à tout prix voir disparaître du monde du «betting». Son seul désir, c’est de voir Lee Shim s’effondrer dans ses affaires. Oubliant qu’il serait lui-même devenu simple consultant à la rue St Georges, usant un subterfuge dont il connait la portée pécuniaire!. Dans le sillage de l’introduction de la CSG ( Contribution Sociale Généralisée ), combien d’employés sont aujourd’hui des consultants chez Le Mauricien ltd. Pour ne citer que les nouveaux actionnaires, des blanc-becs dont la gourmandise les amènent à contourner les règles. Au contraire de Jean-Michel Lee Shim, qui n’a rien à gagner ou à perdre en évitant la CSG, étant lui-même exempté sous le plan de la diaspora.

Cela fait longtemps déjà que ce personnage méprisable tente de salir celui qui apaise la misère des pauvres, celui qui est accueilli à bras ouverts dans toutes les régions défavorisées du pays. Des régions où, en raison de son complexe de supériorité, Bernard Delaitre n’a jamais mis et ne mettra jamais les pieds de peur de se les salir !

Mais la grandeur d’un homme, dit-on, ne se mesure pas simplement dans ses écrits ou dans ses paroles. Elle se mesure dans des actes et des faits. Ce qui énerve Bernard Delaitre et ses nouveaux acolytes du Champde-Mars, c’est justement ce parcours exceptionnel que réalise Lee Shim, ingénieur de formation. Comment cet enfant du Ward lV a-t-il pu gravir autant d’échelons seul dans la vie et inspirer autant de respect, alors qu’eux, malgré leur statut social et leur tendance bourgeoise (nés avec la cuillère d’argent, dans l’opulence), ils peinent (Bernard Delaitre en premier)à arriver à la cheville de cet homme d’affaires crédible?

C’est cette frustration quotidienne qui les guide chaque jour dans leurs pensées et dans leurs écrits. Jean-Michel Lee Shim, lui, ne perd pas de vue ses objectifs primaires, inspiré qu’il est par Bob Marley qui disait que «la grandeur d’un homme ne se mesure pas à la richesse qu’il acquiert mais à son intégrité et à sa capacité à affecter positivement les gens autour de lui». Dans sa sale besogne et ses viles tentatives de nuire, Bernard Delaitre est allé chercher un pseudoexpert de quatre pennies, P. Beeby pour critiquer Lee Shim au profit de Foo Kune. Quelle ironie ! Que n’a-t-il pas écrit sur ce même Foo Kune dans le passé !. La déposition à la police de la bande à BD accusant le plus grand bandit de tous les temps de menaces de mort à l’encontre des chroniqueurs hippiques de Turf Magazine/Le Mauricien/Week-End. Revolver pointé à la tempe de Bernard Hyacinthe entre autres. Du jamais vu dans l’histoire de Maurice.

À Bernard Delaitre qui se prend pour le grand défenseur de la cause hippique, nous deman- derons :

(1) S’il veut vraiment que l’inté- grité des courses soit protégée, s’il croit que le nouveau board du MTC privilégie d’abord et avant tout l’intérêt de l’industrie hippique, s’il veut se faire respecter, qu’il aille demander à P. Beeby de citer le nom de cette famille qui, selon lui, aurait profité des décisions de la GRA. Serait-il l’écurie Gujadhur qu’il ne peut critiquer aujourd’hui. Pour la simple raison que l’affable Soon avait entrepris de collecter les proxys en faveur de JM Giraud, dans le cadre des élections du 5 mars.

(2) Qu’il vienne nous dire si un assistant-entraîneur ne se servirait-il de sa « Personal Management Licence » (PML) en tant que directeur d’une compagnie de «betting» pour s’afficher dans le paddock aux côtés de son père-en- traîneur et des jockeys. Ou si le détenteur de cette PML, liée à l’activité de «bookmaker», ne ferait-il pas partie d’un «Chat group» des entraîneurs. Ne serait-il pas le fils de l’entraineur, Gopal Gujadhur. La protection de l’intégrité des courses démarre ici et non pas à partir des activités caritatives de JM Lee Shim ! Si le MTC se respecte, il doit absolument interdire à ce bookmaker-directeur d’agir comme assistant-entraîneur. Le père avec un PML d’entraîneur et le fils détenteur d’un PML de bookmaker, plus fort que ça on tombe raide. Alors ĺà, JM Giraud avec ses œillères pleines ne trouve-t-il pas qu’il y a lieu d’ouvrir une enquête?

(3) S’il est au courant que ce scandale a été évoqué par Rick Parry, mais que ni lui ni ses amis de la MTCSL n’ont le courage de dénoncer ce qui doit l’être, puisque la famille en question citée dans le rapport de la commission d’enquête leur aurait ramené des proxys le 5 mars dernier, lors de l’élection du président du MTC. Voilà la stricte vérité, dévoilée noir sur blanc dans le rapport Parry à l’égard de l’écurie Gujadhur ! «Whilst the GRA grants licences to the various betting operators, their due diligence checks appear to be limited to a police check and a check on financial issues. There appeared to be little attention paid to potential conflicts of interest ; one such example being the granting of a betting licence to the family of a prominent horse racing stable manager.» Imaginez un seul instant les virulentes attaques sous la ceinture qui auraient fusé si c’était la famille Lee Shim qui y était visée, impliquée ! Mais dans ce cas précis, ni le président du MTC, ni ses proches, encire moins ni le donneur de leçons Bernard Delaitre ne trouvent rien à dire, à redire. Comme dit le proverbe, “il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir”.

(4) Qu’il nous dise — lui qui accuse Lee Shim d’un manque de respect envers la gent féminine — comment il avait osé traiter l’ancienne CEO de la GRA, Divya Ringadoo, alors qu’elle était encore en fonction. Bernard Delaitre était descendu à un niveau de dénigrement sans pareil en parlant de stripteaseuse du 12eme étage. À qui faisait-il référence lorsqu’il parlait de «stripteaseuse» du 12e étage, l’accusant d’être à la solde de Lee Shim, en tentant de donner chair à son hallucination ? Il a harcelé et traumatisé cette pauvre dame dans sa feuille de chou. Mais ne voilà-t-il pas qu’il a le culot d’accuser Lee Shim d’avoir insulté Mme Ringadoo ! Heureusement que le ridicule ne tue pas. Si on pouvait demander à la dame, qui de Jean-Michel Lee Shim ou de Bernard Delaitre, mérite une gifle en plein visage, le choix de Divya Ringadoo serait vite fait, n’est-ce pas, monsieur le harceleur patenté…

Bernard Delaitre, regarde la poutre qui est dans tes yeux…

Celui dont la maison est de verre doit se garder de jeter des pierres aux autres, dit ce dicton germanique. Ainsi donc, Bernard Delaitre a cru bon, dans son torchon de jeudi, de traiter Jean-Michel Lee Shim de «salissure» qui «s’en prend aux femmes».

En vérité, c’est Bernard Delaitre lui-même qui montre peu de respect, voire pas du tout, aux femmes et à la famille. Ne fréquentait-il pas la maison de son bon ami régulièrement pour faire main basse sans vergogne sur sa douce moitié… Comment un homme peut-il dîner chez vous, sourire à votre femme et vous la voler ? Et vos enfants dans tout cela ? Les délits, les méfaits de B. Delaitre ne se compte plus, à ce titre n’oublions pas les employées et journalistes qui sont passées à la trappe. Heureusement que sa formule de séduction malsaine de « I want to taste the pleasures of your bed » s’est heurtée à la résis- tance de certaines femmes chastes, vertueuses. Et dire que c’est ce même Bernard Delaitre qui passe tout son temps dans son bureau calfeutré, emmuré, chaque jour, chaque semaine, et à longueur d’année, à donner des leçons de moralité aux autres !

Que Bernard Delaitre s’en prenne à nous dans son torchon, c’est de bonne guerre. Mais cet obscur et médiocre personnage, qui croit que la presse mauricienne se résume à ses pensées et à ses méthodes d’autrefois, oublie que sur la place des grands hommes, il est bien la dernière personne à pouvoir donner à Jean-Michel Lee Shim des leçons de gestion des affaires ou, à nous, des leçons de journalisme.

En vérité, Bernard Delaitre passe le plus clair de son temps — il en a beaucoup, d’ailleurs, ces derniers temps — à voir la paille qui est dans les yeux d’autrui, mais feint de ne pas voir la poutre dans les siens. Pour ce faire, le pauvre Bernard Delaitre se transforme en défenseur de la cause féminine et accuse Jean-Michel Lee Shim de s’en prendre aux femmes. Dans sa quête obstinée de jeter de la boue sur Jean-Michel Lee Shim, il l’accuse d’être misogyne et cite des noms de femmes, nommément Keevy (Julia Merle, actuellement Stipe au MTC), Ringadoo (Divya, ancienne CEO de la GRA) et Taslima Valayden (l’épouse de l’homme de loi Rama Valayden).

Dans cette société de préjugés totalement injustifiées à l’égard des mères-célibataire, personne n’a eu le réflexe, le courage, l’élégance, le souci de prendre leur défense, à l’exception de JMLS, lui-même témoin d’un tel drame dans son enfance (la regrettée mère de JMLS ayant été elle-même une mère-célibataire).

Vous n’avez qu’à surfer sur “smp. mu”, pour constater et apprécier l’action formidable, méritoire de JM Lee Shim pour tirer cette catégorie de femmes (jugée à tort par d‘autres, eux-mêmes remplis de tous les vices de la terre) de l’enfer de l’abandon et de l’exploitation.

C’est le comble de l’ironie ! Les exemples abondent, de l’impitoyable condamnation de ces mères-céliba- taire, de certaines dames en général. Qui donc avait, le 10 octobre 2017, mis en une de son torchon : «La GRA subit un strip-tease», avec la photo bien en vue de Divya Ringadoo, alors CEO de la GRA, à sa sortie de la commission d’enquête sur la drogue présidée par l’ex-juge Paul Lam Shang Leen ? Qui a passé son temps à la harceler lorsqu’elle occupait le 12e étage du Newton Tower ?

Concernant Taslima Valayden, nous n’avons rien fait d’autre qu’une comparaison avec les reproches que son époux a faits à Jean-Michel Lee Shim dans une vidéo. Tandis que dans le cas de Julia Keevy, nous avons jeté un regard critique sur son travail comme Stipe sur le board du MTC.

En couvrant d’opprobre Jean-Michel Lee Shim, Bernard Delaitre cherche sans doute à se faire une nouvelle virginité en se faisant passer pour le bon Samaritain. Bernard Delaitre est un peu comme Madame La Marquise, dans la célèbre chanson de Paul Misraki des années 30, à qui on disait que tout va bien chez elle alors que ses écuries et son château étaient en feu.

En vérité, tout va mal pour Bernard Delaitre. Sa vieille bâtisse de la rue St Georges, dont il a soufflé la direction à ses cousins et cousines, est désormais une ruine qui n’attend plus qu’on vienne ramasser les vieilles ferrailles. Il faudra sans doute que dans les écoles de commerce, sa gestion soit citée comme un exemple à ne PAS suivre.

Y compris la gestion de sa vie qui, pour certains, est une longue histoire d’infidélités et une absence totale de respect vis-à-vis de la gent féminine. Déjà comme ami, c’est un malotru et ce n’est certainement pas Jacques Malié qui dira le contraire. Il est entré tel un agneau dans la maison de cet homme qui lui avait ouvert grand les portes. Mais comme un voleur qui vient piller, Bernard Delaitre a volé la femme de son prochain. Pourtant, dans la Bible, il est dit que «tu ne voleras pas la femme de ton prochain». Sauf qu’une personne qui a volé une fois volera toujours, dit-on aussi.

Faites attention à ce coureur de jupon.

Bernard Delaitre a pillé partout où il est passé. C’est aussi ce qu’il a fait dans le château de la rue St Georges avant d’y mettre le feu. Et pas que dans les caisses, mais aussi dans les rédactions, où il a abusé de son pouvoir pour sauter sur ses proies, souvent innocentes et inconscientes de ce qu’il s’y passait. Pauvres dames. «Da so kafé pena triyaz», dit-on à la rue St Georges. Même la réceptionniste est passée dans le lot. Et c’est ce même Bernard Delaitre qui va venir nous faire la morale.

Bernard Delaitre, regarde la poutre qui est dans tes yeux au lieu de surveiller la paille dans les yeux d’autrui.

Et comme si cela ne suffisait pas, quelle lâcheté de venir accuser Lee Shim de vouloir ternir l’image de Shan Ip ! Qu’il sache que Shan Ip a toujours été très proche de la famille Lee Shim, à qui il a rendu visite plusieurs fois à Londres, pendant que l’épouse de Jean-Michel Lee Shim luttait contre le cancer. Qu’il sache que le frère et la belle-sœur de Shan Ip travaillaient pour Lee Shim à Londres, et que ce dernier considère le petit Dylan Ip comme un fils. D’ailleurs, c’est chez Lee Shim, à Londres, que Dylan Ip, qui travaille au MTC, a fait son entrée dans le monde du travail. Dommage pour Bernard Delaitre qui, visiblement à court d’argu- ments, bascule dans le ridicule.

Le directeur du Défi Media Group, Ehshan Kodarbux, avait raison de dénoncer, comme nous, «les articles d’approximations et de faussetés et les délires» des publications dirigées alors par Bernard Delaitre, appelées, dans un récent passé, à s’agenouiller devant Me Yousuf Mohamed à qui des plates excuses avaient dû être présentées.

Que Bernard Delaitre sache désormais que le monde des médias et de la communication n’est plus la chasse gardée d’une petite poignée de gens de la bourgeoisie ! Sa lâcheté et ses mensonges seront systématiquement dénoncés.