Rama Valayden en remet une autre couche. Il s’entête et s’enlise dans ses travers. La virulence de ses attaques et le langage châtié dont ceux-ci sont empreints ne peuvent que faire surgir à son détriment des sentiments de dégoût. Inadmissible pour un homme qui prétend combattre les maux de cette époque. Sans aucun fondement, R. Valayden attise les divisions et la fragilité du corps social. En plus, d’alimenter une certaine excitation, pour ne pas dire l’hystérie dans l’espace public.
En reprenant à son compte un anathème absurde et une notion forgée par une forme de violence [verbale] dépourvue de toute preuve et justification, il répand ce climat de défiance qui ne peut que susciter de profondes inquiétudes sur l’état actuel de notre démocratie.
Il est dangereux et l’instrumentalisation de ses relations humaines dégradantes est autant dangereuse. Il convient donc de le réfuter, de le dénoncer jusqu’à ce que ses dérapages s’éteignent dans l’échec. Dans cette lignée, nous continuons donc à affirmer notre soutien et notre entière solidarité envers Jean-Michel Lee Shim (JMLS).
Chacune de ses sorties sur FB est une lamentable démonstration qui illustre l’hypocrisie de R. Valayden. Vendredi soir, elle en apporté une preuve supplémentaire de la fausseté, la futilité de son soi-disant combat. Quelle puisse être la faiblesse dans la sincérité de ce monsieur quand il trouve le temps de consacrer une dizaine de minutes à tirer sur JMLS. Quand on mène une lutte d’intérêt général, on se focalise sur l’essentiel, qui est constitué par les misères, les préoccupations, les tribulations des Mauriciens. Que vient faire dans son intervention une envolée hystérique contre un seul homme, non-politique de surcroît? Sinon qu’il se sert d’une situation dont il donne l’apparence d’une question de vie ou de mort pour la population, mais derrière il tente de régler ses comptes, pour des raisons d’orgueil, de vanité, voire même de chantage.
Mais, avec JMLS cette mascarade, cette mise en scène ne passera pas. Certes, il est illusoire de croire que les détracteurs de Jean-Michel Lee Shim, tel que R. Valayden, cesseront l’ensemble de leurs attaques, sous les différentes formes de calomnie, d’allégation, d’insinuation et de fausseté. Il y a des raisons à cela et nous nous sommes appesanti surtout sur la nature de Rama de décevoir, de tromper et sur sa quête de vivre au-dessus de ses moyens. Par malheur, pressé et bousculé par une seconde moitié dont la soif des extravagances, d’une vie d’aristocrate, monsieur s’empêtre dans tous les imbroglios, qui puissent rapporter gros. Il s’en contre-fiche de l’éthique, la déontologie, la dignité, les valeurs. Pourvu que les vœux, les aspirations fantaisistes de madame la marquise soient comblés.
Cela n’embarrasse point certains qu’ils soient nourris, engraissés, avec le denier de pauvres gens ou de bénéfices obscurs. Que pourrait-on attendre de bien de ces personnages-là, qui n’ont jamais eu honte de l’argent qu’ils coûtaient à l’État quand ils étaient au pouvoir.
Rama Valayden est le dernier des Mauriciens faisant partie des hommes les plus médiatisés du pays à faire la leçon aux autres, à porter un jugement accusateur, à faire endosser aux autres des passifs dont il a lui-même accumulé et dont il aura à répondre. D’évidence, Rama ne pourrait jamais se soustraire d’une série d’énormités, de nuisances et de ravages.
De nombreuses interroga- tions subsistent et qui suffisent à accoler un discrédit très difficile à faire évaporer. Aujourd’hui, nous en relevons trois. Parce qu’elles ont la particularité de stigmatiser diverses dimensions des activités répréhensibles et hautement condamnables :
1. Le témoignage d’un gynécologue de renom dont la vie a été brisé par l’irruption dans sa demeure de quelques bandits. Avec pour séquelles, le médecin violenté, sa femme agressée sexuellement, leurs enfants traumatisés à vie, des biens matériels volés. Chez quel homme de loi ces criminels avaient-ils atterri et cherché refuge; et qui leur a donné le conseil du diable de brûler tout ce qui pouvait servir de pièces à convictions, des preuves accablantes en Cour.
2. Qui a fait éviter à un gros importateur de pétards des amendes de l’ordre de 75 millions pour fraudes douanières ? Une rescousse occulte, un sauvetage s’apparentant à une corruption d’une gravité sans précédent et qui fut récompensé par l’octroi d’une dizaine de chevaux à une dame. Un acte généreux qui révéla le vice du jeu de cette dernière.
3. Sous quelle gestion, des dossiers bien ficelés et qui auraient expédié les auteurs en prison, disparurent-ils des tiroirs ? Ce qui vaut à ces malfrats une vie normale aujourd’hui.
La critique injustifiée est souvent une extériorisation du sentiment d’infériorité. Ceux qui vous l’adressent ont des difficultés à réussir et aimeraient vous faire redescendre à leur niveau.
Au lieu de répondre par l’irri- tation et l’animosité, Jean-Michel Lee Shim a l’ingéniosité de rester impassible et stoïque, car dans le cas de Rama Valayden, c’est, en réalité, un individu qui est dans la frustration, dans l’hypocrisie. Comme il se rabaisse lui-même, il n’est pas bien avec lui- même et comme il se sent dévalorisé par rapport à JMLS, plutôt que de se remettre en question, il choisit la méchanceté, les coups bas et les pires ripostes.
Immunisé qu’il est contre les critiques malveillantes et les remarques hostiles, JMLS met son focus sur sa réussite personnelle et professionnelle et sur l’épanouissement de sa vie. Ni plus, ni moins.
