Non content d’avoir failli dans ses tentatives diaboliques et infectes d’atteindre Jean-Michel Lee Shim, le détracteur Rama Valayden [qui ne mérite vilement que l’épithète de détraqué], s’est embourbé dans la pire des calomnies et des malveillances: celle d’avoir recours à la gente féminine et en apparentant bassement et lâchement celle-ci à la formule consacrée d’attouchements et d’harcèlements sexuels. À la différence que ces méfaits qui sont dénoncés et sanctionnés dans des cas avérés sont faussement collés aux basques de JMLS d’une manière éhontée, au travers de rumeurs sans fondement et d’insinuations. Si celles-çi ne concernaient pas une femme dont la manipulation par un soi-disant membre du barreau est stupéfiante, nous aurions rangé cet épisode comme un fait divers comique.
Ce qui est bien est que ces mensonges et ces concertations frauduleuses ont été vite dévoilés. Les documents et sms publiés en hors-textes confirment les intentions malveillantes de ces esprits démoniaques et font exploser complicités et connivences. Rama Valayden en prendra pour son grade, lui qui a trouvé dans cette affaire les raisons d’une condamnation définitive. C’est son choix et son affaire. Il se fait du mal à lui-même.
S’il n’y a pas lieu de justifier quoi que ce soit, il est de bon de faire une réflexion pertinente: JMLS est un homme d’affaire qui a prospéré en sachant être à point nommé et surtout en suant eau et sang au fil des années. Il peut tout se permettre, au prime abord une existence de JET SET. Se la couler douce dans un bungalow pied dans l’eau, menant une vie doré avec le sable blanc et l’eau d’azur limpide, s’assurant les bienfaits de l’iode marin et jouissant de la pêche au gros. De surcroît, il aurait pu à l’écart des regards indiscrets et des ragots s’offrir des conquêtes sur lesquelles les dignitaires princiers jettent leur dévolu et libèrent leurs pulsions. M. Lee Shim a choisi une vie simple qui le fait côtoyer bon nombre de ses employés chaque jour que Dieu donne. Et, il en tire des moments heureux que l’argent ne procure pas souvent. On doit à son intelligence de dire qu’il a su découvrir le bonheur sans parade, sans excentricités et sans frivolités. Ce n’est pas aujourd’hui que JMLS va succomber aux pièges des chacals ne valant moins que rien. Point barre.
Heureusement, contrairement à ce que l’on aurait pu faire croire, cette épreuve d’allégations montées en épingle a renforcé JM Lee Shim. De ce point de vue, dans le malheur, il y a eu du bien. Nous aimerions toutefois rappeler qu’à aucun moment de sa vie, au cours de son engagement, JMLS ne s’est présenté comme un modèle, un être parfait. Puisque la perfection n’est pas de ce monde et seul Dieu est parfait. En des dizaines d’années de paroles et d’actions, il a toujours répété que son discours et ses œuvres étaient un idéal auquel il aspirais comme les autres. Il n’a jamais cessé d’évoquer les faiblesses et les vulnérabilités se mêlant aux qualités et prouesses. « Nous ne sommes que des êtres humains, et il serait bon que certains ne se prennent pas pour Dieu, ni dans leurs actes ni dans leurs jugements. » JMLS l’a souvent affirmé.
Ce complot qui s’éteint dans l’échec conforte Jmls et le rend plus rigoureux. Conforté dans l’idée qu’il passerait sa vie restante à servir le même message, avec la même force et la même détermination. Rigoureux, car il a appris qu’il faut s’éloigner de ceux qui, sur la route, l’avaient fait croire qu’ils étaient des sœurs, des frères et des amis, mais qui aimaient l’image publique, les faveurs et non le cœur, avec ses blessures et ses fragilités. « Je suis mon juge le plus sévère. » dit-il. Mais, si certains veulent l’empêcher de vivre normalement et d’agir librement avec une ligne humaniste, ils devront déchanter. Si on a pu le menacer, c’est parce qu’il s’est exposé avec une générosité d’esprit et de cœur à l’égard de ceux-celles qui ne le méritait pas.
Beaucoup de ses contempteurs ne connaissent rien de sa vie, de ses engagements et des sacrifices, et ils se permettent de tirer des conclusions à partir des rumeurs, dont leur profonde ignorance et une constante malveillance déforment la source et le sens.
Jmls est proche de tous ceux et celles quelle que soit leur couleur ou leur religion – qui résistent à l’injustice, à la corruption ou à l’exploitation. S’il importe néanmoins que les analyses économiques et politiques prennent en compte la complexité du réel et offrent une réelle alternative aux démunis, il ne va pas s’arrêter en pleine route de son soutien aux pauvres, d’être à l’écoute attentive et honnête de leurs revendications.
Il sera toujours en guerre contre l’hypocrisie des personnages fabriqués comme R. Valayden, qui dévoient les valeurs qu’ils prétendent incarner, qui sans foi ni loi s’alignent du côté des trafiquants, des criminels et des violeurs, qui laissent mourir les drogués. Ceux qui l’attaquent et le vilipendent ont des intérêts idéologiques et financiers à le dénaturer. Ils veulent attribuer à Jmls la paternité de ce qui est leur fonds de commerce à eux : la stigmatisation, l’exclusion, la manipulation.
Jean-Michel Lee Shim, c’est tout le contraire. C’est une interrogation, à laquelle ses actions philanthropiques répondent en soulignant que nous ne sommes absolument pas là pour la gloire. Au contraire, nous sommes là pour partager, vivre et agir ensemble.
Et puis Jmls veux, évidemment, contribuer au bien-être de la société. Quel être humain ne souhaite pas contribuer positivement à l’évolution de la société dans laquelle il vit ? Tous les êtres, où qu’ils vivent, doivent offrir une contribution positive à leur espace social. Jmls ne fais que répéter cela depuis cinquante ans.
Et ne pas se tromper d’ennemi, car les véritables ennemis sont certains hommes et femmes de notre pays, qui sont les véritables promoteurs de cette idéologie nauséabonde de la division, de la stigmatisation, de la manipulation et du chantage.
Pour rafraîchir la mémoire de certains, nous avons jugé utile de reprendre des lignes que nous avions écrites quand la pandémie du Covid-19 avait foudroyé Maurice l’an dernier. Alors que Rama Valayden avait disparu de la circulation, M. Lee Shim mettait en place des dispositifs sanitaires et fournissait le boire et manger à des milliers de Mauriciens dans leur détresse amplifiée par le virus. Nous ne croyions pas avoir si bien élaboré et qui se révèle si vrai:
Parmi les pathologies inquiétantes dont souffre une section du pays et qui sont d’une nature détestable, horrible, nous en citerons trois : « la défiance, le complexe de supériorité, la malveillance». S’il existait un prix Nobel de l’enfumage, R.Valayden s’ajoute à ce lot de politiques sans vergogne, quelques marchands de papier et autres perverses qui auraient vraiment toutes leurs chances.
Puisque Jean-Michel Lee Shim est devenu l’obsession principale de toute cette bande de vermines, de cette populace méprisable portée à nuire, il est de notre devoir de faire ôter leurs masques, de les dénoncer. À fortiori, JMLS a la sagesse de les soigner toujours par le mépris et le silence, tel un endurci insensible aux attaques basses et lâches. Tout à sa morale, ses valeurs et son honneur. Il a raison de laisser les autres s’enliser dans les insultes, le dénigrement, la petitesse, les vrais faux sujets.
M. Lee Shim n’a cependant jamais cherché à se mettre lui-même en vedette. Féroce homme d’affaires atypique, philanthrope moderne, personnalité sans complexe, JMLS est avant tout un homme d’affaires pressé, et n’essaye pas de nous faire croire autre chose.
Alors que d’autres essayent de nous faire croire qu’il sont autre chose que des excentriques aux poches pleines et qu’ils sont très à l’aise avec leur image de riche exubérant, JMLS a transcendé ces tentations en se muant depuis longtemps en bienfaiteur de l’humanité. Ses détracteurs perdent leur temps en s’employant à l’atteindre, car les tentatives répétées de ceux-là s’éteignent toujours dans l’échec et les sinistres auteurs doivent se résigner à se contenter du niveau pour lequel ils sont faits.
Néanmoins, nous faillirons à notre tâche si nous restions silencieux à ces sales manœuvres. La complicité entre certains politiques et quelques journaleux saute aux yeux, l’enchaînement des questions et des textes méchants, malveillants est trop troublant pour qu’il s’agisse uniquement de simples coïncidences. Truffés de mensonges, de procès d’intention, d’éléments sortis de leur contexte, leurs actes sont accomplis dans l’unique but de jeter le discrédit sur JMLS.
Même si nous demanderions à ces colporteurs de garder leur venin, vulgarité, médiocrité et jalousie pour insulter ceux qui en valent la peine dans leur propre entourage; et même si nous leur dirions de se regarder dans une glace pour voir à quel point ils commettent le pire de ce qu’ils essayent de coller sur le dos des autres, nous ne cesserons de leur riposter. Notre capacité d’indignation est si forte que chaque fois notre motivation se décuple.
Jusqu’où iront ces personnages infects dans leur hargne, leur bassesse et leurs opérations de dénigrement? Il n’en demeure pas moins que les sanctions affectant leur vie ne leur a pas servi de leçons. Ils persisteront dans leur outrage, mais jusqu’a ce que cette fois tout finira par être sanctionné pour de bon.
Entretemps, tandis qu’ils s’enfonceront davantage dans leur campagnes de rejet et de salissures, JMLS fidèle à sa sérénité et sa sagesse et avec le degré d’audace nécessaire, prônera encore plus la réalisation des projets humanitaires et continuera à répondre aux besoins de ceux dont l’affliction n’émeut pas le moindrement ses détracteurs.
JM Lee Shim nous incite à être des plateformes et non des applications. À être l’endroit où les idées, les connaissances convergent pour être traduites en des faits, des réalisations, où de nouvelles formes et de nouveaux modèles s’esquissent dans un monde impitoyable, égoïste. Il n’est donc jamais surprenant que notre homme sorte toujours gagnant, face à la haine, l’ignominie, la calomnie. Quelle que soit l’intensité des attaques de discrédit.