April 24, 2024
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Opinion

B. Hyacinthe est au journalisme ce que le rat est au caniveau

Quand les langues se délient, elles rendent apparent ce qui est caché. Au fil des années, on a compris ce qu’il fallait comprendre: pourquoi le Mauricien était devenu une sorte de caniveau canalisant toutes les bassesses du journalisme d’imposture et de déviance. La compagnie a sombré parcequ’elle est devenue le ramassis des personnages qui ont raté leur vocation. À la rue St George, tous ceux d’en haut qui s’assemblent se ressemblent. Nous n’avons qu’a citer la similitude des cas d’échec des deux Bernard pour se convaincre du pourquoi de la décadence de cette presse en question. Delaitre parti en France pour devenir médecin a tout abandonné pour se consacrer à une carrière de marchand de papier et Hyacinthe a fait de ses études un gâchis identique en ne parvenant pas à s’auréoler du statut de notaire pourtant une formalité quand le regretté père détenait sa propre étude de notaire.

Ces deux compères auraient dû se faire petit et surtout ne pas se poser en donneurs de leçon, eu égard à leur parcours raté. Mais, aujourd’hui, comme un tandem d’experts, ils tirent tous azimuts, poussés par ce syndrome anti-JM Lee Shim. Qu’est-ce qui pourrait bien les motiver pour se ramener à ce rôle de détracteur dont la puanteur n’atteindra jamais JMLS. Hystérie, obsession maladive, malhonnêteté intellectuelle, tout se conjugue pour décrire les manœuvres de ces dépravés.

Quel journalisme de honte: en fait ils sont au journalisme ce que le rat est au caniveau. Ça pue, c’est laid, encore que le rat lui est intelligent. Tout d’un coup, Bernard Hyacinthe qui se contentait jusque-là à induire les lecteurs du Mauricien et de Turf Magazine, avec des analyses bidon concoctées à partir de sa demeure, se joint à la cohorte répugnante des journaleux. Mal lui en prend, puisqu’il frappe à la mauvaise porte, celle par laquelle il devra déguerpir la queue entre les jambes.

Ce qui vient du caniveau reste dans le caniveau. Bernard Hyacinthe oublie son passé tumultueux, déchiré entre la paresse et ses limites qui firent s’envoler des opportunités privilégiées de notaire; et son addiction aux jeux. Ainsi se refermaient les perspectives d’une carrière de haut niveau. Très vite, il se retrouva dans des beaux draps, sa situation pécunaire le rejetant dans un goulot d’étranglement. C’est là qu’intervient son fidèle et généreux ami Stellio Antonio, lequel usa de ses contacts pour le faire recruter par Turf Magazine. Quel put être le degré d’ingratitude et de son sens inné de trahir, quand il contribua méchamment à faire partir l’excellent chroniqueur hippique S.A. Dans son cas, la honte ne fut pas contagieuse, car B. Hyacinthe n’eut point de remord de conscience.

D’ordinaire, on ne fait pas allusion à un défaut esthétique. Certains ont de grandes oreilles, d’autres des yeux globuleux, ou encore une bouche trop fine et la tête dégarnie. Personne n’est parfait, on a tous des défauts. Mais, il y a lieu de faire ressortir ce dont B Hyacinthe a tendance à se faire un complèxe. Parce qu’il faut l’amener à se voir dans une glace. Avant de répandre sa bile sur ceux qui ont le mérite de viser plus haut, encore plus haut. S’il y a un trait de sa personne dont il n’est pas fière du tout, c’est son nez. Aimer son nez ce n’est pas facile, monsieur Bernard. Les moqueries ne lui ont jamais permis à assumer cette forme de son nez jugée non conventionnel.

Au lieu de déblatérer, il aurait dû créer un “go fund me” pour une rhinoplastie. Pour affiner son nez. Beaucoup ont un nez imposant, mais il fait partie de leur visage sans qu’on leur passe une remarque. Puisque ces gens-là ne sont pas méchants et n’ont pas l’esprit vil vis-à-vis de leurs prochains, cela fait partie le plus naturellement de leur identité et va toujours avec leur visage. Pas pour B. Hyacinthe.

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