March 29, 2024
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Opinion

L’autre fausseté du grand larbin sur Petit Gamin

Parce qu’il n’a pas l’humilité de s’excuser pour ses écrits faux et diffamatoires sur le centre équestre de Petit Gamin, le grand larbin a maladroitement tenté de justifier ses mensonges une semaine plus tard comme s’il se croirait sortir de l’auberge en citant une loi sur l’environnement. Or, il n’y a eu aucune violation et encore moins une faveur d’une quelconque autorité, vu que tout a été fait dans le respect des dispositions légales et environnementales pour que la race équine se retrouve traitée vraiment comme la plus noble découverte de l’homme.

Une semaine après avoir violé le droit à la propriété privée en commandant la prise d’images aériennes sur ce nouveau centre d’entraînement moderne dans le nord, une semaine seulement après avoir fait des allégations gratuites et malveillantes sur la provenance du sable pour combler les pistes en construction, Week-End devait ravaler ses balivernes en écrivant : « Les promoteurs affirment qu’ils viennent légalement d’un fournisseur de Baie-du-Cap qui le fabrique à partir d’une carrière de coraux. Week-End confirme qu’effectivement tel est le cas. » Heureusement que le ridicule ne tue pas ! Avant de publier des faussetés, le laquais de quelques grands bonnets aurait dû faire son ‘homework’, ses recherches et son devoir de confirmation et de vérification et non attendre une mise au point ou un reportage ou publireportage comme il l’allègue. Pour quelqu’un qui se pose en donneur de leçons et qui voit la paille dans l’œil d’autrui alors que dans le sien une poutre fait figure d’épouvantail, son article même étant truffé de coquilles, il aurait dû agir comme un journaliste sérieux et responsable et non comme un écrivassier haineux et malhonnête.

Malhonnête et de mauvaise foi parce que le sable à Petit Gamin est de même source que celui utilisé par le MTC pour le Champ de Mars et le centre Guy Desmarais à Floréal. C’est le même que commande des entraîneurs pour leur centre d’entraînement privé, c’est-à-dire en provenance de Baie-du-Cap. Pourquoi juste quand JMLS Equestrian en fait l’acquisition, facturée et réglée, que cela pose problème et devient le sujet d’un article à la une avec toutes sortes d’allégations et d’insinuations ? Pendant de nombreuses années, l’organisateur des courses de chevaux et des écuries ont eu recours à ce sable corallien de Baie-du-Cap et on a rien trouvé à redire ni à citer la loi sur l’environnement interdisant l’utilisation du sable marin. Voyez-vous de quel niveau de bassesse et de malhonnêteté intellectuelle le JMLS Equestrian en a affaire et il n’est pas difficile de deviner les motivations de ceux qui se déclarent objectifs quand en vérité leur servilité défend des intérêts bien particuliers.

« La police, sollicitée suite à une déposition faite par un ex-politicien, a ouvert une enquête et a fait une visite à Balaclava et aurait reçu des documents relatifs à l’achat « officiel » du sable de même qu’un échantillon du sable que JML Co. Ltd dit avoir acquis légalement. Quand il s’agit de JMLS, la police n’a jamais fait montre d’une grande volonté de recherche de la vérité, surtout depuis 2014. Mais nous attendons ses conclusions avant de… nous prononcer ! ». Ce paragraphe de la page 67 de la dernière édition de Week-End est une autre preuve du délire de Bernard Delaître. Ses imputations sont si répugnantes et médiocres qu’il va jusqu’à pointer du doigt la police comme si les Casernes centrales et les policiers sont à la solde de Michel Lee Shim. Un minimum de respect pour ces enquêteurs s’impose au lieu de donner libre cours à son imagination fertile. Autant que nous le sachions, la police a ses méthodes et sa propre éthique professionnelle. Ce n’est surtout pas d’un accusateur patenté qu’elle doit recevoir des ordres ou conclure ses enquêtes pour lui faire plaisir.

La cerise sur le gâteau après la série d’insinuations. «Jean-Michel Lee Shim fait fausse route de vouloir faire accroire au public que Week-End s’oppose au projet d’un nouveau centre équestre et d’un nouvel hippodrome. Il sait que Week-End a toujours milité pour un projet national pour les courses hippiques dans le cadre d’un partenariat entre l’État et l’organisateur des courses, mais jusqu’ici, tous les projets en ce sens ont été tués dans l’œuf… par manque de choix d’un emplacement adéquat et de financement jugé trop mirobolant pour assurer une rentabilité. » Encore une fois, après avoir émis des critiques injustes et injustifiées, le laquais Delaître, réalisant sans doute que ses aboiements ne vont servir à rien finalement tant la caravane passe à toute vitesse, tente de revenir à de meilleurs sentiments devant la qualité et la vision du développement à Petit Gamin. Ce qu’il doit se rendre à l’évidence et une fois pour toutes, c’est que ce n’est pas la faute à Michel Lee Shim si « tous les projets en ce sens ont été tués dans l’œuf… par manque de choix d’un emplacement adéquat et de financement jugé trop mirobolant… ». Comment peut-on blâmer cet homme d’affaires s’il a eu le courage d’investir sa fortune dans un tel centre, s’il veut redonner à l’hippisme et au pays des raisons d’être fiers de ce sport avec des infrastructures de niveau mondial ? Et puis, pourquoi tout associer à son amitié et sa proximité politiques quand l’on sait pertinemment qu’il a investi et qu’il investit toujours son argent sans qu’il n’obtienne des terres ou du sable en cadeau ou par des moyens contraires aux lois du pays ?

Vouloir présenter un projet d’envergure et d’avenir, vecteur d’emplois, comme une initiative illégale avec des allégations médisantes et des allusions venimeuses, est une tentative malsaine et malhonnête qui ne peut que provenir d’un valet de ceux qui sentent leurs intérêts être menacés. C’est pourquoi nous notons cette constance et cette virulence dans ces attaques répétées auxquelles nous riposterons autant qu’il le faudra. Car on ne peut pas laisser les mensonges servir le but inavoué de ces assoiffés de privilèges au détriment de l’intérêt général. On ne peut pas continuer à garder le silence quand la vérité est piétinée.