Eviter le drame qui se profile à l’horizon et qui menace des centaines de familles qui vivent dans l’angoisse avec la décision “stay at home” de la MTCSL. Il est réconfortant de voir la People’s Turf Plc lancer un vibrant appel à la MTCSL ce matin pour que sur une base humanitaire, les différends soient mis de côté et qu’une solution soit trouvée.
People’s Turf Plc est disposée à accueillir dans ses rangs les employés de la MTCSL sur une base temporaire et permanente, mais il ne faut pas que ces employés perdent leurs années de service. La balle est dans le camp de la MTCSL.
Maintenant on verra si au MTC et à la MTCSL, les administrateurs et les directeurs ont vraiment à coeur l’intérêt de ces travailleurs qui ont tant donné à ce club. Si la MTCSL veut vraiment que ces employés retrouvent le sourire, qu’elle accepte de libérer ces employés et leur permettre de gagner leur vie à la PTP ou ailleurs tout en maintenant leurs années de service et la somme qu’ils sont éligible de par la loi.
Les travailleurs sont forcés a rester chez eux avec un garden leave salary misérable inssufisant à faire vivre leurs familles et s’ils prennent un emploi alors ils doivent démissionner et ainsi perdre tout leur droit a des indemnités pour leur temp de services chez le MTC . Ça c’est plus qu’un acte de barbarie qu’il faut dénoncer. Seul Weekend / Le Mauricien trouvera lá a une pratique digne des gens d’honneur.
People’s Turf Plc a fait ce premier pas officiellement. Que fera la MTCSL ? Si ces dirigeants sont sincères et veulent trouver une solution pour apaiser la douleur et la souffrance de ces travailleurs, ils n’ont d’autres choix que de réagir positivement à l’appel de People’s Turf Plc. C’est un “win-win situation” pour tout le monde, car en donnant l’autorisation à ces employés de prendre de l’emploi ailleurs, la MTCSL économisera Rs 3 millions par mois car plus besoin de payer le “garden leave” de 200 employés.
On saura vite si la MTCSL est guidée par le bons sens ou si elle est en train de marcher sur les cadavres de ses employés pour assouvir ses ambitions politiques. Le “garden leave” qu’elle impose à ses employés ne sert ni ses intérêts financièrement ni ceux de ses employés; seulement ses intérêts politiques.
