Tout d’un coup, leurs masques tombent et leur vrai motif se dévoile: il n’y a rien dans leurs manœuvres qui démontrent la recherche du salut de la population. Oui, comment pourrait-il être ainsi, quand dans un même élan, ils s’en détournent de leur soi-disant combat pour le peuple pour tirer à tout bout de champ sur des objectifs, qui ne sont ni politiques, ni ne comptent parmi les hommes les plus influents du pays, mais au contraire qui sont des hommes qui ne mènent pas en bateau les mauriciens avec de fausses promesses [comme eux ils font]. La problématique de ce quatuor et de ceux qui crapahutent dans le même caniveau des rats qu’eux est qu’ils jugent les autres selon ce qu’ils sont eux-mêmes.
Venons-en d’abord à Arvind Boolell, le calife qui a visiblement renié ses aspirations d’être à la place du calife. L’homme dont le sombre destin est de vivre à l’ombre de Navin Ramgoolam pour toujours, a perdu sa dignité, se rendant même comique. Ce qu’il y a d’incongru, de trompeur en lui c’est ce côté gentleman qui cache un homme ficelle, peureux. Avec tous les défauts du politique de façade. A.Boolell, c’est le résumé du parcours d’un homme désespérément accroché à une carrière pourtant ratée, qui a fait toutes les concessions. Résultat de la course: NCR l’a bouffé. Disgracieuse et honteuse à la fois, son attitude est aussi terriblement dangereuse, avec les risques du renforcement du totali- tarisme d’un leader comme Navin au sein d’un parti au passé glorieux. Boolell aura des comptes à rendre un jour à ces milliers de partisans irréductibles rouges.
Après les victimes du confinement, voici la victime du déconfinement: Rama Valayden. Il est bien évidemment temps pour connaitre l’ampleur des dégâts de la Covid-19 sur sa personne. Frappé d’un isolement convulsif, puisqu’il a été privé de ses incessantes rhétoriques et démonstrations grotesques, il est aujourd’hui accablé par la déprime. Le manque d’activité et les centaines d’heures passées à écluser des séries de Netflix lui ont fait oublier le principe de base de l’aspect légal de son métier. Et, il n’y pas meilleure réaction à sa dérive que celle de son collègue du barreau, Feizal Khan Boodhoo lequel a remis Rama à sa place en ces termes: « Nous pe progresser! Mo pas ti conner ki maintenant c’est suspect ki décider ki l’heure la police bizin interroge li. Service 24/7 et pick-up tout. L’Europe même fail are nou!!! »
De toutes les façons, sa manifestation contre les crimes et les exactions des sionistes au détriment des palestinienne n’a pas laissé insensible la population. Dans le mauvais sens, car les gens ont dénoncé sa présence aux côtés de l’agent notoire des sionistes BL et aussi ont fait comprendre qu’ils n’étaient pas dupes, se sentant révoltés par l’utilisation indécente d’un drame à des fins opportunistes. Aimer c’est voir dans la même direction. À cette enseigne, Rama ferait mieux de regarder vers le Champ de Mars où sa seconde moitié a posé son cabas.
Roshi Bhadain, lui, est quelqu’un qui est rempli de lui-même. Toutefois, ses contradictions et sa réputation vacillante ne le lâchent pas d’une semelle. Le silence qu’il garde sur son projet de Heritage City, avec en toile de fond des dizaines de millions dilapidées pour une expertise à l’odeur de scandale, est symptoma- tique de son état d’esprit insouciant et de ses inten- tions abusives.
Nous aimerions bien que monsieur réponde à cette question simple: peut-il lever le voile sur le flop de ce mégaprojet et le gaspillage des deniers publiques y relatif ? Le propre de ce prétentieux est son rapport très aléatoire avec la vérité, qu’il écrabouille sans complexe. Son nouveau slogan s’apparente à ceci: les élections d’abord, la vérité plus tard»…. mais pour les solutions, la substance, les idées neuves ou fortes, faudra repasser. Le vide de sa politique est surtout désolant en économie, qui devait être la plus grande des priorités d’un mauricien Les Mauriciens s’attendent à entendre parler de ses gaffes et des ratés de son mandat-express de ministre et de son refus de défendre son dossier de la BAI. Il n’a qu’à bien se tenir : ses adversaires vont redoubler d’ardeur dans leurs attaques quand les élections seront derrière la porte. Des piques similaires qui ont déjà porté leurs fruits, puisque Bhadain a mordu la poussière à deux reprises, surtout en peu de temps.
Il arrive assez rarement que Rajesh Bhagwan nous fasse rire. Mais il faut avouer que son faux cri moralisateur, assorti d’un vibrant appel aux citoyens «attachés à la démocratie et aux libertés » d’avoir du courage à manifester leurs ressentiments contre le pouvoir en place, est assez cocasse. Un peu comme si un doberman se mettait à miauler. Lui qui aurait dû s’expliquer avant tout sur sa servitude devant Paul Bérenger. Rien n’est une émanation de son esprit, car il a le cerveau aux talons de ses chaussures. Rien ne réussira à le faire sortir de ses réponses préparées [par son maître]. Pour le reste, il n’y a rien à retenir de sa carrière, sinon qu’il s’est fait beaucoup de politique sur le dos de ses mandants, mais bien peu de solutions tangibles apportées. Il fait honte aux militants de son parti, tant sa recette pour faire durer son parcours articule autour du fait qu’il faut marcher à quatre pattes devant son boss pour faire de la politique.
Tout comme le but en politique est de prendre le pouvoir, pour un citoyen au grand cœur ayant conjuré la misère, l’adversité et le mauvais sort pour connaître ensuite un succès dans la vie et atteindre un remarquable niveau socio-économique, la finalité est de trouver le juste milieu entre sa réussite et son sens de générosité. C’est le cas de Jean-Michel Lee Shim.
Même si dans ce monde de plus en plus insaisissable, où on ne s’attaque pas à des gens insignifiants, JMLS s’attend à ce que ses réalisations financières ne laisseront pas insensibles ce lot de gens qui n’est motivé que par des sombres état âmes [ la jalousie, la calomnie, l’intolérance et la malhonnêteté intellectuelle entre autres]. À la vérité, c’est justement ce qui lui arrive depuis qu’il a été autant favorisé par le destin que par sa patience et son savoir-faire.
Là où le bât blesse est quand on prend pour cible JMLS sous l’angle de son business des paris. Certes, le domaine des jeux du hasard fait l’objet d’un certain préjugé. Sans raison aucune, car celui qui offre des paris aux parieurs ne s’engage pas dans une transaction gagnante à tous les coups. Mieux, elle incarne l’équation de profit-perte et mieux encore Monsieur Lee Shim ne force personne à céder à la tentation des paris. Encore moins, il ne met la main dans la poche des gens. Ce dont les détracteurs détraqués se ravisent bien d’occulter, c’est que JMLS consent des sommes énormes dans le socio-médical, au travers de Solidarité Maryé Piqué et de JMLS CANCER SUPPORT. La philanthropie de JM Lee Shim s’inscrit dans une action généreuse d’envergure.
Donc, se répandre en insinuations à l’effet que JMLS est impliqué dans une industrie à amasser de l’argent pour le thésauriser, cela relève d’esprits sales et envieux. Il faudrait être d’une candeur naïve ou manquer de matière grise (de la part de JMLS) pour une débauche d’énergie qui consiste à renflouer ses caisses, pour ensuite disposer de ces liasses de billets à des fins de projets humanitaires. À moins que l’intention est de consacrer sa vie à des œuvres charitables et des relations humaines de solidarité. Ce dont JMLS accomplit depuis des années, avec la même passion et conviction. Sans oublier que les différents vecteurs des activités économiques de Jm Lee Shim font vivre des centaines de familles. Et, là aussi ces employés se payant le luxe d’un déploiement [job] qui est bien plus rémunéré que les exigences légales de travail réclament. À voir de plus près, ces caricatures qui s’épuisent à jeter l’anathème à JMLS et lui vouer aux gémonies, ce sont ceux qui sont submergés par un mercantilisme à outrance et une exploitation des travailleurs, en toute impunité.
Derrière des affaires et une quête pour s’enrichir sans borne, s’exercent ces mêmes détracteurs, des hommes assoiffés par l’argent et dont le but absolu est de courir encore et toujours cette course effrénée et malsaine vers la fortune. Que cela se fasse au prix de malmener la dignité de leurs salariés et la suppression des droits de ces derniers (dont l’espérance légitime est de gagner ce qui leur revient, à la sueur de leur front), ils s’en fichent carrément. Ces sinistres personnages n’ont pas le droit de pointer du doigt un philanthrope digne de ce nom, comme Jean-Michel Lee Shim. Et, heureusement, la Providence ne se prive pas de choisir son camp: à chaque fois, ils ne peuvent aller au bout de leur méchanceté, leur mépris et leur malveillance contre JMLS.
Qu’ils finissent par se rendre à l’évidence d’un postulat impla- cable: il y a chez JMLS quelque chose qui porte malheur à ceux qui lui causent du tort. La pauvreté a tant impacté tous les volets de son existence d’enfant, qu’il est devenu le postulateur de la cause des abandonnés de la société. Porter une attention spécifique aux démunis, c’est investir dans un avenir meilleur pour toutes et tous. Le refus de la misère l’a mené à pousser sa réflexion sur le sens de la destinée des mauriciens frappés par le coup du sort. Il a toujours souhaité que la cause des pauvres soit un « formidable haut-parleur » pour tous ces gens sans avenir concret. Intellectuel brillant [ingénieur de premier ordre, puisque issue des bancs de l’impressionnant univers universitaire anglaise], JMLS a ainsi choisi de se mettre au service des plus démunis. Depuis, son implication est intense et constante. Il était d’abord et avant tout un homme de cœur et de famille. Sa sensibilité aux œuvres caritatives, particulièrement celle des mauriciens d’une pauvreté extrême et livré à eux-mêmes, est inspirante tant elle était sincère. Voilà pourquoi JMLS n’a jamais laissé personne indifférent.
Exigeant et méticuleux, il est pourtant insensible aux critiques et aux attaques injustes sur sa personne et ses actions. Le fait d’être simplement proche des Mauriciens à la peine, cela le comble. Le reste n’est que banal. Il continue de faire la guerre à tous les dogmes et doxas au nom des valeurs qui lui sont chères : la liberté de penser, d’accomplir et d’être. Battant insatiable formé et renforcé par des années difficiles, révolté furieux contre la misère qui prolifère, à cause des conventions arbitraires et les fausses promesses politiques, mais aussi extatiquement enthousiaste devant l’intelligence, le dévouement et la gratitude, JMLS est une incarnation originale de l’intellectuel public moderne, le philanthrope authentique et l’homme d’affaires résolument fonceur.
Son autorité, son panache et sa générosité sont des attributs qui font toute la différence dans le grand bain de la société. Son franc-parler, son aisance naturelle et son sens aigu de la place des démunis dans cet univers impitoyable, JM Lee Shim en impose sans arrêt. Il est indifférent à ce qu’on le néglige ou ne vante pas ses mérites, il n’a pas besoin de s’incruster sur la photo.
Il reste que les deux aspects les plus incommodants et injustes à son égard est la jalousie et la rancœur irascibles et fielleuses contre sa personne et ses actes. Mais, quoi qu’on en fasse, on ne peut pas saisir des failles, fautes et faiblesses chez JMLS et ses projets. Il n’en existe pas. Alors on magnifie des faussetés afin de composer d’effroyables images de lui. Là aussi, cela ne passe pas. Les lâches sont ainsi en déroute.