October 10, 2024
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Opinion

TENTATIVES RATÉES DE SALIR KOBITA ET DE DÉNIGRER PKJ

À la réflexion, nous avons jugé utile de revenir plus en détail sur une affaire, qui n’a rien à faire avec l’actualité de ces derniers jours ; et dans le même souffle nous nous insurger contre ce dénigrement systématique du PM. Outre le fait que les deux cas sont liés, la victime des odieuses calomnies et autres mensonges n’étant autre que Mme Kobita Jugnauth l’épouse du Premier ministre, cela permet de mieux comprendre la conspiration qui a pris forme depuis la fin du confinement, au détriment de ces deux premières person- nalités du pays. Nous ne cesserons de le répéter qu’on reconnait ces personnes portées à faire du mal, à leur odeur mais que leur puanteur n’atteindra jamais le couple Jugnauth.

Malheureusement, ce n’est pas nouveau, c’est une histoire vieille comme l’humanité : partout dans le monde, beaucoup de sociétés contrôlent la moralité des femmes par la façon dont elles les soumettent à des exigences et surtout prennent la vile manière de salir lâchement les hommes du pouvoir et leurs conjoints.. Certes, la perfection n’est pas de ce monde et ce qui est bien dans la vie est que ceux qui jettent la boue sur les autres, pratiquent la calomnie et distillent le mensonge finissent par se retrouver [et leurs enfants avec] dans des situations pires de ce dont ils tentaient d’en impliquer injustement d’autres personnes qui ne méritaient pas un atome de calomnie, de médisance. Le raz-de-marée de calomnies, de médisance, de mensonges et d’allégations gratuites a été déclenché pour démolir le couple. Ces gens-là n’ont plus aucun scrupule à vomir leur fiel sur leurs prochains. La médisance, la rhétorique prime sur la vérité. Tel est le mode opératoire de la politique et d’une frange de la presse. Le mensonge en politique est devenu la politique du mensonge et le journalisme s’est rabaissé à l’élévation de la rumeur en information et des allégations en diffamation.

Le piètre Oscar du mensonge et de cette campagne de dénigrement, précisément du <> revient à cette bande de crapules, qui ont commencé à se répandre sans la moindre gène en imprécations et allégations contre l’épouse du PM. C’est le règne de la boue et de la contrefaçon. Par leur médisance et mensonges, ces lâches ont non seulement insulté les femmes mauriciennes, ils ont fait l’aveu de leur haine à l’égard du PM et de sa seconde moitié. Le mensonge a atteint son paroxysme. C’est tragique ! Mais la véritable catastrophe, c’est l’acceptation sociale du mensonge, par le biais des réseaux sociaux. En toute impunité, des centaines de suiveurs reprennent sur leur “wall” ce que d’autres esprits malades alimentent tous azimuts. Quand la fausseté et le leurre sont institutionnalisés et que la tromperie ne fait plus scandale, quelle société construisons-nous ? Mais, sachez qu’il en faudra beaucoup plus pour venir à bout du couple Jugnauth.

Pourtant, on nous balance, chaque année, que l’éthique est à l’avant-scène. Elle est exigée des travailleurs, des entreprises, des financiers, des politiques. Mais, en premier lieu, ceux qui la proclament haut et fort, les journalistes, pour être plus précis, certains sont les premiers à bafouer leur déontologie. Il faut dire que les hommes qui se rendent coupables de médisance à l’encontre de Mme Kobita Jugnauth sont affreusement banals, médiocres et lâches. Comme ces journaleux qui tentent de se faire apprécier en société et apparaissent comme charmants. Ce sont pourtant les mêmes qui inventent les pires humiliations à l’égard des femmes, mais heureusement ce n’est pas inéluctable. Pour mettre un terme à ce fléau, il faut d’abord tenter de faire prendre conscience de la gravité du problème, de changer les mentalités et surtout de les dénoncer. Toutefois, c’est un combat de longue haleine.

Certainement, avec K. Jugnauth il n’est pas question de s’installer dans une acceptation passive ; elle refuse absolument, farouchement, de se construire comme une victime. De ne pas se taire est nécessairement synonyme de vérité. Si être une femme est une preuve en soi, il va sans dire que c’est à son époux en tant que PM que revient l’action de monter logiquement en première ligne pour intenter des poursuites de diffamation. En démocratie, c’est le seul recours adéquat.

Sincèrement, nous sommes d’avis que ces détracteurs détraqués, Pravind et Kobita doivent les soigner par le mépris et le silence. Il convient de focaliser sur ce qui est dans l’intérêt du pays. Concrètement, Mme Kobita Jugnauth gagne beaucoup à exercer un rôle de représentation, de patronage et d’accompagnement du PM dans ces rassemblements où ils sont invités et dans les missions de PJ. Aucun texte juridique ne codifie ce rôle. Cependant, on voit chez elle, même si elle se montre très discrète, ce devoir d’être utile. Certes, quand vous êtes PM, vous êtes élu. Quand vous êtes le conjoint du PM, les gens ne vous ont pas élue. La seule manière de ne pas être importune, c’est d’aider. C’est très compliqué, parce qu’elle est sans cesse sous le regard des autres.

En prenant part à des actions nationales, notamment pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux enfants, KJ vit résolument dans le présent. Sans mentionner, qu’elle répond aux sollicitations des mauriciennes qui souhaitent la rencontrer. Pour des raisons de sécurité imposées par l’État, elle doit exercer sa liberté dans la contrainte. Mais, dans la foulée, précisons qu’elle est une femme libre. Malgré ces moments de contrainte, elle reste profondément celle qu’elle a toujours été. Elle ne sait pas être autrement. Et ne vous y méprenez pas, elle ne redoute pas l’après-pouvoir. Non, pas du tout. L’avenir, quel qu’il soit, pose problème. Bien évidemment, l’avenir peut être incertain en général. Mais l’avenir avec Pravind n’est pas inquiétant. C’est un homme solide, extrêmement rassurant et extrêmement concentré sur ses objectifs pour le pays, les mauriciens.

C’est pourquoi les tentatives de salir Kobita Jugnauth et dénigrer Pravind sont ratées. Bien sûr, le couple n’est pas à l’aise avec l’anonymat, avec les gens qui n’ont pas de visage. Il ne comprend certainement pas la violence sur les réseaux sociaux. Pourquoi est-ce que systématiquement on a recours à cette violence ? Pour les Jugnauth, l’autre, c’est leur alter ego, ce n’est pas l’ennemi. Nous arrivons à penser que les gens qui insultent, qui calomnient sont profondément malheureux.

Quant à ceux qui se dévoilent, politiques et journalistes confondus, ils sont logés à la même enseigne : en pure perte. Se servir, comme aujourd’hui, d’un drame pour en attribuer la cause à PJ est absolument indécent, révoltant. De grandes nations, malgré leur puissance financière et logistique ont connu des marées noires plus catastrophiques. Ce qui nous amène à affirmer qu’il y l’implacable fait que l’homme doit aussi composer avec la Providence. L’erreur, la faute, l’imprudence, et la négligence sont autant de slogans qu’on se plait à en accabler l’autre ; alors qu’au prime abord on en a expérimenté ces limites soi-même. C’est le propre des démagogues, des donneurs de leçon. Et, c’est pourquoi d’une part le peuple les a envoyés dans le caniveau et d’autre part que le tirage et la vente des journaux de ces plumitifs ont considérablement chuté. Tout finit par être sanctionné.