Alors que le doute était instillé sans relâche pour tenter de démontrer que Jean-Michel Lee Shim n’avait pas la compétence et l’intelligence de réussir une saison de courses, la tournure a donné tort à ces détracteurs et colporteurs infâmes. Le PTP est allé au bout de ses engagements, ses devoirs et a relevé un pari redoutable. Ces pauvres esprits ne s’étaient même pas privés de souhaiter honteusement que chaque week-end, la pluie se mette de la partie pour faire annuler les journées. Dans leurs folie mentale, ils ne lésinaient pas sur les qualificatifs de leurs “wishful thinkings”: <<saison Soy>> étant celui affiché sur les imprimés du Mauricien/Week-End.
Tout cela n’a pu briser sa volonté de compléter la saison. Et, en une année, JM Lee Shim a infligé une gifle magistrale à tous ceux qui jurait sa perte, sa déconvenue. Pour toutes ces multiples raisons, nous ne pouvons pas considérer la mission de JMLS comme une simple péripétie. Sans fausse modestie, il ne parade pas. Ce n’est pas pour cela que nous ne devrions pas mettre en lumière son accomplissement exceptionnelle.
À ce titre, nous lui décernons la palme de “Mastermind de l’année 2023”
Ceux qui avaient vu l’avenir en noir ou rapidement considéré la relève du MTC par le PTP comme une simple solution de rechange vouée à une mort certaine doivent maintenant déchanter. Le souhait sinistre de Bernard Delaitre et de ses acolytes, sous la forme de cette fausse rumeur de << l’heure de rebrousser chemin a-t-elle sonné?>> s’est révélé d’un ridicule moribond.
Mis à l’avant-scène pour pallier aux déboires financiers et au jet de l’éponge du MTC, le PTP a magistralement relevé l’audacieux défi et le fait de terminer convenablement une longue et éreintante saison [par le record de 22 courses], malgré l’inclémence terrible du temps, témoigne de la maîtrise qui s’amplifie. Oui, sous le couvert de chroniqueurs [de mauvais augure] d’une soi-disant grande presse, des charognards se sont ligués pour ternir le projet faramineux de Jean-Michel Lee Shim, le nouvel hippodrome de Petit Gamin n’échappant pas aux méchantes et viles campagnes.
Pendant de longues semaines, le doute s’était emparé des parieurs et des turfistes, lesquels avaient été amenés, par les tromperies des Delaitre, Shan Ip et autres JM Giraud, à supprimer leur passion pour les courses de chevaux. Mais, tout finit par être consacré dans la vie, quand la patience et la volonté [couplées d’un esprit d’équipe imperturbable] se conjuguent.
Ayant navigué d’un statut d’incompris voire de mal-aimé à celui d’artisan émérite d’un impressionnant et nouvel édifice des courses, JM Lee Shim recoit désormais les satisfecits de tous bords et les coups d’encensoir pleuvent sans relâche. JM Lee Shim est en train de ré-écrire l’histoire des courses. À juste titre. Celui qui a été patient, face à une adversité diabolique, n’a pas été privé de succès. À JM Lee Shim l’honneur, mais il laisse les autres [ son équipe] se partager les honneurs.
Tout cela nous remet en mémoire la singularité d’un homme des courses, d’un visionnaire et d’un stratège pas comme les autres: Jean-Michel Lee Shim, le MASTERMIND qu’il convient avec justesse de distinguer de ces parvenus, de ces arrogants, ces vaniteux qui se suffisent à eux-mêmes. Il fallait un JM Lee Shim pour faire tomber de leur piédestal ces potentats, qui ont dénaturé le cours du destin des courses en faisant croire que la gestion et l’organisation des courses en 212 ans étaient un tour de force et n’auraient jamais leur égal. Comme quoi, remettre en cause cette longue traversée du MTC équivalait à démolir injustement un pan de l’histoire. My foot, comme dirait l’anglais.
Toute cette façade, cet écran s’estompe insidieusement pour instaurer une nouvelle donne, celle d’une façon novatrice d’organiser, de gérer les courses. Des courses d’un autre niveau, d’une autre époque, magistralement conçues et mises en oeuvre par le maestro JM Lee Shim. L’exploit, puisque c’est de cela qu’il s’agit, est que le MASTERMIND a réalisé en mieux, en une saison, ce que les autres ont pris 212 ans pour confectionné, cela avec des imperfections qui n’ont pas cessé de se reproduire.
Dans ce registre, il y a une leçon monumentale pour cette bande de détracteurs détraqués: pour avoir sous-estimé Jean-Michel Lee Shim et par extension pour s’être entêté à croire qu’ils pouvaient atteindre JMLS dans sa valeur, par des insanités, des insinuations de toutes sortes, ces ramassis devraient avoir honte de leur faillite.
Contentez-vous du niveau quelconque pour lequel vous êtes faits, JM Lee Shim est d’une autre trempe. Il a en avance sur vous, des années de brillance, d’ingéniosité, de capacités intellectuelles et de flair pour les succès. Si vous êtes trop malfaisants pour persister dans vos travers, contre lui, sachez que c’est en pure perte !
La cérise sur le gâteau sera bien sûr le basculement dans un autre univers, celui de Petit Gamin en 2024. Une révolution dans le domaine hippique. Ce à quoi rêvait un pays depuis des décénnies. Depuis trop longtemps, car avec les tergiversations du MTC, qui renvoyait aux calendes grecques le projet [si nécessaire pour la survie des courses] d’un nouvel hippodrome, les mauriciens avaient perdu tout espoir.
JM Lee Shim seul et contre tous est venu prouver que le MTC s’abritait derrière des arguments puérils pour repousser l’édification d’un nouveau champ de courses. On doit à l’intelligence et à la conviction de JMLS la réalisation de ce projet grandiose.
Petit Gamin, c’est regarder résolument vers l’avenir des courses dignes de ce nom, de dimension internationale. Évidemment, de ce qu’il y a de mieux. Un grand bravo à JMLS. Mais, empressons-nous d’ajouter qu’avec JM Lee Shim, plus on avance, plus on se rend à l’évidence qu’il ne se contente pas de ce qui a été atteint. Il n’y a pas d’amélioration du possible si on ne vise pas l’impossible. Voilà la barre que s’est fixé le Mastermind. On n’aura donc pas tout vu. Dans l’intérêt des courses, l’état d’esprit qui habite JMLS est un véritable plus.