April 25, 2024
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Opinion

Riposte : Taslimah Valayden s’enfonce encore plus dans la vulgarité et l’opprobre !

Les femmes savent instinctivement ce qui est bien et mal. Cela n’empêche pas certaines de faire le mal avec une honte exquise. Taslimah Valayden est de celles-là. Une créature de dégoût et de péché, en perdition, cela fait longtemps qu’elle patauge dans la boue sale d’un comportement indigne de la femme mauricienne. Son langage trivial et d’une rare vulgarité et son culot font honte à la gent feminine. C’est une structure mentale en plein délabrement et dont on voudrait bien soigner par le mépris. Heureusement que l’histoire nous montre que des personnages pareils ont une date de péremption et qu’ils finissent mal. Dans le cas de Taslima, la beauté s’en est allée depuis longtemps et c’est la laideur qui reste. Narcissique qu’elle est, elle ne sait plus à qui se vouer, ne sachant pas qu’elle a tout perdu sauf la folie.

Mais, il y a lieu de remettre à sa place de caniveau, de tout-à-l’égout une Taslima Valayden. Son influence perverse est trop nocive dans son milieu et avec un mari aussi notoire que Rama, il convient de la dénoncer. Oui, l’avocat/politicien Rama Valayden ne pouvant plus se défendre, il se cache maintenant derrière sa femme Taslimah. Et dans un ton indécent, cette dernière se permet de toiser Jean Michel Lee Shim de haut, tout en accusant ce dernier et la rédaction de Mazavaroo de tous les noms. La teneur des élucubrations de cette femme est telle que, si vous allez sur sa page FB, vous vous ferez une idée du niveau de bassesse jamais atteinte par une mauricienne. Certainement, cela vous donnera l’envie de vomir.

Une personne qui n’est même pas foutue de bien écrire du créole, et qui opterait sûrement pour la catégorie « Fail » si on lui demandait de répondre correctement à l’affidavit juré par Béatrice Kwan Tat, laquelle démonte, point par point, les allégations de Rama Valayden contre Jean Michel Lee Shim. Incapable de répondre par des faits, et certain que notre édito intitulé « Le Bar Council doit punir Rama Valayden », Taslimah sort de ses gonds et celle qui se prétend « amoureuse » des chevaux, galope sur ses gros sabots, et menace même l’avoué Murday, qui a fait servir le papier timbré à l’avocat/ politicien.

Flairant ce qui risque de se passer, après les révélations de Béatrice Kwan Tat, Taslimah joue à la femme éplorée et tente de ridiculiser et aussi de salir les journalistes de Mazavaroo. Rama Valayden devra s’expliquer devant le Bar Council, et devant la police, pour avoir voulu utiliser une cliente à des fins politiques. Ce qui est contraire à l’éthique du Barreau. Valayden sait qu’il va payer cher pour cette grosse entorse. Et tel un lâche, il appelle donc Taslimah à sa rescousse.

Mais le show de la femme éplorée ne dupera personne. Et surtout, si elle veut faire croire que « Zot juste ecrire seki Lee Shim ordonne zot… », ce n’est pas une femme de quatre sous comme Taslimah Valayden qui nous fera de cours de journalisme. Nous ne jouons jamais sur les « katar », qui n’ont jamais été à l’école des bonnes manières. Et qui ne font que vivoter dans le giron des canassons. Nous verrons bien ce que décidera le Bar Council, surtout après que Taslimah s’est permise d’estropier volontairement le nom de l’avoué S.S. Murday,en ces termes :« Demain mem mo pou fini repon twa Murdayday !!! »

Il y a des familles entières qui travaillent pour le compte de Mazavaroo et d’autres secteurs, et qui gagnent leur vie grâce à Jean Michel Lee Shim. Parmi des femmes dignes, d’une probité inattaquable, d’un esprit de sacrifice consacré aux démunis qui les propulsent à une telle hauteur que Taslima n’arrivera jamais à arriver au niveau même de leur semelle. Si Taslimah Valayden se permet donc d’insulter toutes ces personnes et si elle ne sait pas faire la distinction entre un journal et des excréments, c’est une femme atteinte d’une maladie cérébrale incurable et qu’il faudra laisser se noyer dans ses malpropretés. On reconnait Taslima à son odeur et qu’elle sache que sa puanteur ne nous atteindra jamais, encore moins Jean-Michel Lee Shim.

Le couperet ne tardera pas à tomber pour Rama Valayden. Tout laisse croire que la chasse d’eau sera aussi tirée pour sa moitié. Taslimah Valayden dérape, avec un langage vulgaire, indigne d’une femme. Et pour une personne qui se dit passionnée des chevaux, son dérapage sur sa page Facebook ne lui fait pas honneur. Elle devrait savoir que toute personne qui dérape comme elle finit toujours dans la décrépitude. Mazavaroo n’a pas l’intention de descendre au même niveau qu’elle !

D’ailleurs, essayez d’imaginer ce qu’un Rama Valayden, qui a été tout sauf un Attorney General digne de ce nom, pourrait faire si jamais il revenait au pouvoir. Car le ton adopté par sa femme, après réception du papier timbré de l’avoué Murday, démontre qu’il n’a aucun respect pour les institutions. Voilà donc un avocat qui reçoit du papier timbré, et qui connaît Une honte à la gent féminine Taslimah Valayden s’enfonce encore plus dans la vulgarité et l’opprobre ! L’importance d’un tel document dans le giron du judiciaire et qui demande à sa femme de traiter l’avoué de tous les noms.

Rama et Taslima ne font qu’un, dans cette vie de débauche. Ce qui est triste est qu’ils fassent la pitoyable et l’indécente démonstration de leur démence, avec à leurs côtés leurs progénitures lesquelles ne méritent pas, comme tout jeune, cet univers de putréfaction auquel leur soumet leurs parents.

Rama et Taslima, c’est la lâcheté et l’hypocrisie masculines et la simulation et la décadence féminines élues meilleur couple du pays. La trahison précède l’ingratitude, ce couple qui a profité des largesses de JM Lee Shim, par le biais d’une escroquerie tire sur la comète, avec une litanie d’allégations et de calomnies qui démasque un tandem frustré, jaloux et malade.

Rama et Taslima ne pourront jamais se cacher impunément derrière le mépris qu’ils ont pour Jean-Michel Lee Shim. Ils ne tiendront pas longtemps, parce qu’à chacune de leurs dégringolades se succède une autre d’un impact encore plus lourd. Mais, nous avons pitié d’eux, car au rythme où ils vont, ils continueront à trainer une existence fausse, superficielle et dégradante que leur monde dans son hypocrisie exige.

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