March 29, 2024
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Attaques contre la PTP -JMLS-People’s TOTE : Demasquons l’homme Delaitre pour comprendre ses motivations primaires

Depuis sa création, People’s Turf Plc fait face à une campagne de machination dont seul un groupe de presse, Le Mauricien, on l’admet volontiers, a les qualités idéniables pour manipuler l’opinion public. Ces attaques repetées de ses trois publications soit Le Mauricien, Week-end et de Turf Magazine depuis sa création, vise à déstabiliser et à diaboliser celui qui a eu l’audace, grâce à ses investissements, de briser un monopole vieux de deux décennies. Des publications diffamatoires, frôlant des injures raciales, se sont multipliées. Il ne se passe une semaine sans que l’auteur de ces articles multiplie ses frasques sans se soucier du code déantologie qui exige une vérification et une contre vérification de ses renseignements avant toute publication. Les Mauriciens dans son ensemble est considéré comme un peuple suiveur qui arrive à une conclusion hative en se basant sur ce qu’il lit ou qu’il entend depuis la libération des ondes. Si les turfistes arrivent difficilement à cerner le ‘biais’ du journaliste dans ses écrits mais par ceux qui l’ont connu.Ces donneurs de lecons qui ont fréquenté les lycées et les universités européeenes et qui croient qu’ils ont le monopole de l’écriture n’ont aucun respect pour leur profession. Sinon, ils auraient respecté le droit à l’individu et ne l’attaque que sur les faits vérifiés et non sur des suppositions. La Cour de cassation avait bien défini en mars 2002 ce que c’est la bonne foi d’un journaliste intégre. Nous prenons la peine de publier ce petit extrait qui est souvent cité dans des jugements à Maurice et à l’étranger dans des procès en diffamation.« La bonne foi se caractérise par la prudence dans l’expression de la pensée, le respect du devoir d’enquête préalable, l’absence d’animosité personnelle envers le diffamé et l’intention de poursuivre un but légitime ». Le groupe Le Mauricien a perdu plusieurs procès en Cour mais cette rédaction n’a toujours pas retenu les lecons du passé. La liberté d’expression n’est pas un passe droit pour diffamer les gens. Dimanche, Bernard Delaitre, celui qui croit qu’il a le monopole de l’intelligence que ce soit en tant que gestionnaire, en tant que conseiller, en tant que journaliste enquêteur et pire en tant que journaliste hippique, a encore une fois jeté son vénin sur la PTP et sur Jean Michel Lee Shim. Le fils de Jean Roland Delaitre est un de ces rares journalistes hippiques au monde, qui ne se déplace jamais les matins pour suivre les séances d’entraînement, qui n’assistent jamais aux enquêtes sur les courses et qui ne vienne aux courses que pour miser ou de se taper des verres de bierres aux côtés de son clan qui comprend les Henry, mais qui a le culot de présenter des éditos, si on peut encore les lire ainsi, sur la chose hippique. Indécent !L’homme a grandi dans un milieu spécifique et nul ne sait ce qu’il aurait été dans la vie professionnelle s’il n’était pas un Delaitre. Il est grand temps de démasquer cet homme dangereux pour le pays, qui ne mesure pas la portée de ses écrits. Un homme qui n’avait pu se contrôler après avoir pris quelques verres lors d’une journée de la Maiden et ses commentaires de bas étage après la victoire de Ice Axe, entrainé par Ricky Maingard sur Il Saggiatore, entraîné par Ramapatee Gujadhur, dans le box de la presse, avait surpris plus d’un. Des commentaires motivées par ses pulsions. Delaitre, qui dirige le Journal Le Mauricien, est dangereux car tous ses écrits sont motivés par la haine qui le caractèrise ou l’amerture de ne pouvoir mener une vie normale. Ses anciens lieutements dont Stellio Antonio, Patrick Jean Louis, Rashid Meerun en ont des histoires les unes plus drôles que les autres à raconter. Seul Shan Ip, le colonel, est resté à ses côtés même si durant l’épisode Global Sports Ltd v ASL, celui qui s’est construit un Palace de Rs 40 millions, à Balaclava, avait été lâché et mais qui a été vite recruté par son ami, Jean Michel Giraud, alors président du MTC. Shan Ip, alors rédacteur en chef du département sport de Week-end, avait une grande proximité avec les Hardy pour des raisons professionnels évidemment et ne pouvait suivre la politique choisie du groupe, soit ‘back’ le dossier Global Sports Ltd avec un contrat lucratif de publicité qui suivra. Cette petite historique était nécessaire pour démontrer que la presse est composée de gens qui peuvent effectivement vendre leur âmes mais leurs noms de famile sont des antidotes qui rendent aveugles les Mauriciens. Dimanche, Bernard Delaitre, à travers le journal Week-end dit que les responsables de la PTP et son principal actionnaire auraient du écouter les experts en débutant la saison en mai et non en mars. Or, nous savons tous que le modèle économique hippique, datant des années 80/90 est dépassé. Tout organisateur des courses ne peut rendre son projet rentable en restant sur 30 journées de courses. Des ex-cadres du MTC l’ont martélé durant ces trois dernières années. Ce qui était vrai pour le MTC doit être vrai pour la PTP. Ces dernières années, le MTC a du renvoyer des journées programmées en mars, en août, septembre, octobre et en novembre après de grosses averses. Ca ce sont des faits vérifiables.Ecouter des experts? S’il avait effectivement des grands experts à la rue Eugène Laurent, les turfistes mauriciens auraient lontemps eu un ‘all weather track’ qui n’aurait coûté que Rs 75 millions à l’époque. S’il y avait de grands experts au MTC, on n’aurait pas eu ce bis repetita de mars 2013 dix ans après aux abords du poteau du 400m? Bernard Delaitre, ses acôlytes et ces pro-MTC sur la toile semblent avoir la mémoire courte. La PTP doit faire face à un chamboulement climatique. Les cadres de la station de météo local sont souvent pris de court. La PTP a hérité d’une piste, sur laquelle le MTC a fait des économies au cours de ces quatre, cinq dernières années. Ce n’est pas Mike Rishworth ou encore Soon Gujadhur qui diront le contraire. La piste s’est abîmée au fil du temps. En 2020, 2021, 2022 cette piste a encaissé plus de 35 journées à intervale de six mois. Pour ceux qui ne mesurent pas les dégâts, on leur dit tout simplement que chaque pied posé par un cheval qui court à 60km/hr est l’équivalent d’une tonne qui attérisse sur l’herbe. Faites le compte pour une course de dix chevaux. La PTP essaye d’améliorer les choses. Il y aura des erreurs ici et là car nul n’est parfait mais la volonté et les investissement sont là et c’est ça la plus importante. Des internautes n’avaient rien trouvé lorsque Le Mauricien s’est attaqué à la PTP pour avoir arrosé la piste en janvier 2023. Pourtant ce même journal, avait dans un article publié en décembre 2022, décrié l’état de la piste. Bernard Delaitre et sa bande de merdiers ont été incapable de mettre au rancart leurs pulsions épidermiques, pour dire merci à la PTP d’avoir pris les choses en main pour entretenir la piste. Pire, ce même groupe voulait que la PTP soit sanctionnée pour avoir arrosé la piste. Que devait faire les employés de la PTP dans ce cas? Laisser le gazon mourir. Et Bernard Delaitre a le culot de venir dire que lui et ses journalistes sont indépendants, intelligents et qu’ils travaillent pour l’intérêt des courses. C’est ça la bonne foi, version Le Mauricien et Bernard Delaitre.Silence radio…version Delaitre!Pour appuyer nos arguments que Bernard Delaitre et sa bande font preuve de mépris vis-à-vis de la PTP et qu’ils sont ‘biais’ dans leur attitude, nous nous adressons les questions suivantes pour permettre au public de tavailler leur matière grise.1. Est-ce que la PTP peut ¬etre tenue responsables que la MTCSL a été placée dans des mains des incompétents et qui s’est finalement retrouvée avec des pertes de Rs Rs 66 193 639 et des liabilities de l’ordre de Rs 130 984 812. Le duo Taposeea et Rishworth a été sacrifié au profit de Jean Michel Giraud et sa bande par une assemblée de membres venue pour barrer la route au progrès. Un duo qui avait travaillé avec le gouvernement pour donner un nouveau souffle à l’industrie hippique et qui avait aussi discuté du fameux TOTE. C’était là l’enjeu des scrutins de 2021. Et le groupe Le Mauricien a été incapable de situer entre le bon et le mauvais. 2. Pourquoi M. Delaitre, qui pourtant fait partie de la garde raprochée de la famille Henry (comme le démontre ses prises de positions dans l’affaire Tigger) n’a pu demander à Nathalie Henry, qui était sur le board qu’il était urgent etnécessaire que la MTSCL vend une partie de ses 1500000 actions ordinnaires aux propriétaires non-membres et au peuple, un peuple qui était dites-vous bien SOLIDAIRE avec le MTC si on se base sur la grande foule de la Maiden 2022? La raison est simple. Le MTC et le groupe Le Mauricien, c’est du blanc bonnet, bonnet blanc en matière de gestion. Aller vérifier les comptes de la compagnie Le Mauricien ltd au cours de ces vingt dernières années…3. Pourquoi le groupe Le Mauricien n’a pas eu le courage de dire haut et fort que la direction de la MTCSL a berné tout le monde en novembre, décembre 2022. Pourtant on sait bien que Nathalie Henry et les autres cadres avaient fait le tour des écuries demandant aux entraîneurs comme Mahadia, Ruhee, Merven et autres Daby de solliciter leurs propriétaires pour qu’ils investissent sur de nouveaux chevaux. Le groupe Le Mauricien (qui se vante être le seul groupe indépendant alors que une grande partie de la population et la politique savent que ce journal a été l’arme du gros capitale) n’a pas jugé important de défendre ces entraîneurs et ces propriétaires qui ont été menés en bateau. Aujourd’hui, ces entraîneurs n’ont d’autres choix que de venir travailer avec la PTP. Seront-ils des ‘chatwas’? 4. Pourquoi M. Delaitre ne s’intéresse pas à ces ex-MTC qui travaillent pour Jean Michel Lee Shim ou encore à Ricky Maingard qui entraîne les chevaux de ce dernier? Ne sont-ils pas aussi des ‘chatwas’? 5. Pourquoi Le journal Le Mauricien ne mène pas une étude indépendante pour mieux comprendre les chiffres et les raisons ayant motivées la PTP de revoir les stakes money à la baisse? Pourtant Bernard Delaitre se vante être super renseigné, lui qui avait durant toute l’année 2022 parlé de financement illicite au sein de la PTP. Dans le passé, une plume de l’hebdomadaire Week-end avait félicité Paul Bérenger d’avoir augmenté la TVA à Maurice. On aurait espéré que cette rédaction adopte la même attitude après cette courageuse décision. LA PTP a travaillé ses chiffres en prenant en considération de la situation économique et une conjoncture qui fait que les gens misent moins. Les recettes de deux organisateurs en 2022 en sont des preuves avec une baisse drastique de 50%. Et si certains ont des doutes, ils peuvent aussi bien vérifier la tendance au niveau du betting sur les matches de football étrangers. Le temps est dur pour tout le monde. Les difficultés financières de la PTP sont une suite logique après tant d’investissement alors que le retour n’est que miette. 6. Pourquoi Bernard Delaitre ne félicite pas Jean Michel Lee Shim, qui malgré un contexte économique difficile, a décidé d’investir sa fortune, dans l’industrie hippique. L’homme aurait bien pu se procurer un domaine dans l’est du pays, ou acheter des hectares de lopin de terre au Bout du monde ou construire un villa en haut de la montage, comme l’ont fait plusieurs directeurs liés à des compagnies de betting. Jean Michel Lee Shim aurait pu construire une Palace cinq étoiles à Balaclava, comme l’a fait un journaliste sportif et ex-employé du MTC, à quelques mètres du Centre de Petit Gamin. Allez comprendre maintenant pourquoi le MTC avait des bad depts pendant 4-5 ans.7. Pourquoi le groupe Le Mauricien est en train de mitrailler la People’s Tote, dont l’acceptation va décider de beaucoup de choses? Y-a-t-il des intérêts à protéger? Est-ce que l’épouse du journaliste est liée à une de ces compagnies?Dans ce triangle, 1. vous avez une compagnie qui n’a retourné que 5% d’un turnover d’un milliard de Rs au MTC pendant des années alors que les principaux actionnaires dont des compagnies sud-africaines touchaient le gros lot, 2. Vous avez une compagnie appartenant à un ex-stable manager et contrôlé majoritairement par sa famille et deux proches de l’ex-premier ministre le Dr Ramgoolam? 3. La People’s Tote, appartenant à l’organisateur des courses, la PTP, qui va reinjecter tous ses profits dans l’industrie. En plus, elle retourne un pourcentage bien plus élèvé aux turfistes. Ces derniers vont être les seuls juges. Nous allons nous arrêter là. Un simple recul et un analyse des différents éditoriaux de Bernard Delaitre publié dans Turf Magazine durant ces dix voir quinze dernières années montre que l’homme est instable et qui n’est aucunement guidé par des principes de vie. Qu’est ce que cet homme n’a pas écrit sur Soon Gujadhur, sur Paul Foo Kune et sur Jean Michel Giraud? Pourtant, Bernard Delaitre a changé de ton et d’attitude envers ces gens. Ce qu’il a jadis considéré comme noirs sont devenus blancs pour lui! Les ennemis d’hiers sont devenus les amis.Aujourd’hui, Jean Michel Lee Shim est devenu le cible de Bernard Delaitre tout comme l’a été les trois hommes mentionnés plus hauts. En 2022, on a martélé les gens que le financement de la PTP était occulte. Aujourd’hui, la direction de la PTP fait face à cette dure réalité au niveau des finances, demolissant ainsi les arguments mis en avant pour ternir l’image de Jean Michel Lee Shim. Ca, ce sont des véritée! Si le betting ne suit pas, l’industrie mourra. L’homme a pris des risques et a investi ses sous dans un centre moderne, un centre qui va être converti en un hippodrome pour devenir dans l’immédiat, l’alternatif du Champ de Mars. Personne ne sait de ce qui sera fait l’avenir. Ceux qui ont décidé d’être solidaires et aux côtés de Jean Michel Lee Shim dans ce pari soit entraîneurs, communauté des jockeys, palefreniers, gens des médias, veterinaires, ont fait un choix! Un choix de faire perdurer les courses hippiques pour que les générations futures, de tous bords, puissent vivre leur passion dans une atmosphère saine et conviviale. Ce qui est fait aujourd’hui peut être considéré comme un mal mais c’est un mal nécessaire pour que les courses hippiques respirent à Maurice.

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