Il fallait s’y attendre: le détraqué Vimen Sabapati, sous les verrous pour présumé trafic de drogue, et qui est en train de se noyer dans des eaux troubles, tente par tous les moyens de se dépétrer de son asphyxie. Maintenant, dans l’état de délire qu’il est, acculé et en perdition, il mentionne à tort et à travers le nom de Jean-Michel Lee Shim.
Que dire devant ce délire, sinon que le trafiquant est définitivement plongé dans un état paranoïaque, qui ne mérite que le mépris.
Dans un message audio posté sur Facebook, Sabapati prétend que JM Lee Shim lui doit rs. 8,5 million
et ajoutant l’insulte à l’injure, il bluffe davantage en radotant des menaces sur des soi-disant révéla- tions au GRA.
Le complotisme est un sujet d’ac- tualité préoccupant et Vimen Sa- bapati entretient des rapports étroits avec l’imaginaire du com- plot. Les fantasmes d’un complot contre lui renforcé par son état de délire amène le trafiquant à tenter de détourner l’opinion publique du vrai motif pour lequel V. Saba- pati est dans une situation com- promettante. Des tentatives simi- laires dans le passé se sont toutes éteintes dans l’échec.
Ce qu’il convient de préciser
est que JM Lee Shim n’est pro- priétaire d’aucune compagnie de paris et que ce soit de loin ou de près, il n’est nullement concerné par ces activités. De plus, les fab- ulations qui attribuent des dettes aux dépens de V. Sabapati font rire. Quand on connait la réus- site de JM Lee Shim depuis des lustres et ses nombreux actes de philanthropie [dont les montants d’aide et de soutien médical aux démunis et cancéreux sont chif- frés à des millions Rs], personne n’osera croire à ces balivernes. Jean-Michel Lee Shim a d’autres activités trop significatives pour s’attarder sur ces basses insinu- ations. En vrac, il les balaye d’un revers de main.